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Le métropolite Hilarion : Dans les moments de …

Le métropolite Hilarion : Dans les moments de tragédie, il faut que les gens se mobilisent pour aider les survivants

Le 28 mars 2018, la chaîne de télévision « Rossia 24 » a diffusé une émission spéciale du programme « L’Église et le monde » (Tserkov’ i mir) sur les évènements tragiques survenus le 25 mars à Kemerovo.
E. Gratcheva : Cette émission de « l’Église est le monde » sera toute entière consacrée à la tragédie de Kemerovo. Nous nous entretenons avec le métropolite Hilarion de Volokolamsk, président du Département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou. Monseigneur, bonjour.
Le métropolite Hilarion : Bonjour, Ekaterina, bonjour chers frères et sœurs.
E. Gratcheva : Monseigneur, Vladimir Poutine a décrété ce mercredi jour de deuil national à cause des évènements tragiques qui se sont produits à Kemerovo. Selon le président, la tragédie qui a coûté la vie à 64 personnes est la conséquence d’une négligence criminelle. A votre avis, pourquoi la négligence criminelle fait-elle tant partie de notre quotidien, voire les initiatives criminelles, comme c’est le cas ici ?
Le métropolite Hilarion : Je tiens d’abord à exprimer mes plus cordiales et mes plus sincères condoléances à tous ceux qui ont perdu des proches dans cette tragédie. C’est effectivement une tragédie nationale, un deuil national, et ce n’est pas pour rien que les gens viennent déposer des fleurs dans toutes les villes du pays, viennent à l’église prier pour les innocents qui ont péri ainsi.
Certes, il n’y a pas de mots pour consoler ceux qui ont perdu leurs proches.
Quant à la responsabilité, aux causes de ce qui s’est passé, je pense que chacun de nous doit d’abord réfléchir à soi, se demander de qui est-il personnellement responsable. Le chef d’entreprise ou de toute autre collectivité doit savoir qu’il est responsable de ceux qu’il dirige, de leur vie, de leur sécurité. Cela veut dire que tous les matins et tous les soirs, en se levant et en se couchant, il doit se demander : est-ce que tout est en ordre, dans quel état sont les bâtiments où travaillent mes employés, connaissent-ils les règles de sécurité contre les incendies ?
Personne ne pense au malheur tant que le malheur n’arrive pas. Il faut pourtant être prêt à ce que quelque chose peut se passer. Nous devons savoir quoi faire et apprendre aux enfants quoi faire en pareil cas. Quant aux responsables de l’état des bâtiments, de leur sécurité, de la sécurité contre le feu, s’ils sont coupables, ils devront répondre pleinement de leurs actes devant la loi.
E. Gratcheva : En effet, ce qui s’est passé est monstrueux. Sur le plan d’évacuation, il était indiqué que le bâtiment était une usine de confiserie, et pas un centre de loisirs. On n’a pas changé les indications en fonction.
Autre cas de négligence criminelle : le gardien a coupé l’alarme pour qu’elle arrête de sonner. Depuis la tragédie de Kemerovo, on entend souvent des alarmes d’exercice dans les centres commerciaux, mais on annonce aux gens par haut-parleur qu’il s’agit d’un entraînement, qu’ils n’ont pas besoin d’y faire attention et qu’ils restent à leurs places. Comment vaincre ces habitudes ?
Le métropolite Hilarion : Il y a, dans notre pays, une tradition peut-être séculaire : on considère les règlements comme quelque chose de facultatif. Un de nos grands classiques disait qu’en Russie la sévérité de la loi est compensée par son caractère facultatif. Et ce n’est pas une plaisanterie. C’est très sérieux. Il faut en parler sérieusement. Beaucoup, par exemple, croient qu’ils ne sont pas obligés de respecter le code de la route. Si on est pressé, on accélère. Si l’on veut doubler, on n’hésite pas à risquer sa vie et celle des autres.
J’ai été choqué d’apprendre, que le bâtiment n’avait même pas été mis aux normes pour être employé comme centre commercial, en fait on s’était contenté de maquiller l’usine de confiserie en centre commercial. Les conditions pour accueillir un grand nombre de personnes dans ce bâtiment n’étaient pas remplies. Plus l’irresponsabilité des gens qui répondaient de la sécurité anti-feu. Les gens se sont retrouvés piégés, le piège étant un ensemble de facteurs dont chacun renvoie à l’irresponsabilité d’une personne concrète.
E. Gratcheva : « Nous parlons de démographie, nous disons qu’il faut faire plus d’enfants. Et finalement, à cause de cette tragédie, nous avons perdu plein d’enfants », a dit le président pendant sa rencontre avec les gens de Kemerovo. En effet, ce n’est pas le montant de la paye, ni la possession d’une voiture qui détermine un jeune couple à avoir des enfants, mais la sensation d’être soutenu socialement, le sentiment de sécurité, de garantie offerte par l’état.
Ces sentiments existaient pendant la période soviétique. Nos parents, nos grands-parents aiment s’en souvenir. Quand cette sensation de sécurité, de garantie sociale reviendra-t-elle, combien faudra-t-il de générations ?
Le métropolite Hilarion : En fait, je n’exagérerais pas le niveau de sécurité qui existait à l’époque soviétique, il y avait aussi des incendies et des catastrophes aériennes. Simplement, on évitait d’en parler. Au moment de la catastrophe de Tchernobyl, on n’a pas su tout de suite, on n’en a pas parlé immédiatement. Pendant longtemps, les gens ont ignoré l’ampleur de la tragédie. C’est pourquoi il est faux de dire que tout allait bien en Union soviétique, que tout le monde vivait en sécurité, qu’à présent tout va mal et que nous sommes confrontés à plus de risques.
E. Gratcheva : Monseigneur, après l’annonce de la tragédie, des prêtres du diocèse de Kemerovo se sont rendus dans les hôpitaux et sur les lieux de l’incendie. Que peuvent faire les serviteurs du culte, alors que même les psychologues sont impuissants ?
Le métropolite Hilarion : Le prêtre peut aider de sa simple présence. En général, au moment du premier choc, lorsque les gens sont bouleversés par ce qui leur arrive, ils sont désemparés, ils ne savent pas quoi faire et de simples paroles de compassion et de consolation ne les aident pas. Les prêtres ne sont pas là pour dire des banalités. Ils sont là pour être aux côtés des gens.
La première chose que peut faire l’Église, c’est de prier, car tous les gens ont besoin qu’on prie pour eux, même s’ils ne le savent pas. Celui qui a déjà quitté ce monde a besoin de prières, et ceux qui restent en ce monde en ont besoin aussi. Les prêtres, en venant vers les gens qui vivent cette épouvantable tragédie qu’est la perte de proches, prient avec eux. Beaucoup se sentent soulagés lorsqu’ils s’adressent à Dieu avec le prêtre. Les prêtres ne sont pas des psychothérapeutes, mais ils ont d’autres moyens pour aider les gens. Ces moyens sont nombreux. Il faut que les prêtres viennent sur les lieux des tragédies. C’est ce qui se passe actuellement.
E. Gratcheva : Monseigneur, lorsque surviennent des tragédies qui coûtent la vie à des enfants, que ce soit Beslan, des catastrophes aériennes dont des enfants sont victimes, la première question que se posent les gens qui ne sont pas pratiquants est : Pourquoi des enfants ? Que fait Dieu ? Que répondriez-vous à ces parents, à ces familles ?
Le métropolite Hilarion : Les non-pratiquants, en général, ne nous posent pas ces questions. Il arrive souvent que c’est justement à l’occasion d’une tragédie que les gens se souviennent de Dieu : tant que tout allait bien, ils ne pensaient pas à Dieu, qui leur semblait exister quelque part, loin. Ils ne sentaient pas qu’ils avaient besoin de Lui, se croyaient capables de construire eux-mêmes leur vie.
Dans les tragédies, les gens se souviennent de Dieu. Il vaudrait pourtant mieux s’en souvenir avant, vivre avec Dieu toute la durée de sa vie. C’est ce que l’Église ne cesse de répéter.
Beaucoup de gens ont le même rapport avec Dieu qu’avec le code de la route : le code existe pour les autres, quant à nous, nous pouvons l’enfreindre s’il n’y a pas de caméras, si nous sommes pressés, etc. Beaucoup font la même chose avec Dieu et se souviennent de Lui lorsqu’il s’est passé quelque chose de grave.
Pourquoi les hommes ont-ils besoin de Dieu ? Dieu prend soin de chacun, mais nous n’y prenons pas garde et n’en avons pas toujours conscience. Dieu a pris soin de tous ceux qui sont morts dans cette horrible tragédie, Il a pris soin d’eux bien plus que d’autres ne l’auraient fait, en les introduisant dans la vie éternelle. En fait, aucun d’eux n’est mort, ils continuent à vivre, mais dans une autre dimension, à laquelle nous parviendrons aussi tôt au tard. Dieu a préparé pour tout homme une destinée heureuse et merveilleuse. C’est la première chose dont il faut se souvenir.
La seconde, c’est que c’est nous, et non pas Dieu, qui sommes responsables de nos malheurs. Au lieu de chercher un coupable en dehors, pensons à notre propre responsabilité. Si chacun de ceux qui ont part à ce processus pensait à sa propre responsabilité, au lieu de se demander ce que fait Dieu et de se poser des questions philosophiques, s’il se disait : je suis le gardien, donc voilà ce que j’ai à faire, tout irait mieux. Si l’alarme sonne, je dois faire mon possible pour mobiliser les gens au plus vite. Si je suis le directeur de ce centre commercial, je dois tout faire pour que le bâtiment soit aux normes de sécurité, etc. Si tous les gens se montraient responsables de leurs actes, et n’essayaient pas d’en faire porter la responsabilité à d’autres ou à Dieu, il n’y aurait plus de tragédies.
E. Gratcheva : Lorsqu’une famille perd un enfant, que dit le prêtre pour expliquer aux parents le sens de ce qui se passe, pourquoi Dieu leur prend les âmes innocentes de leurs petits enfants ?
Le métropolite Hilarion : Nous disons avant tout que l’homme est créé pour la vie éternelle. Notre passage sur terre est temporaire, nous finirons tous par mourir, que nous le voulions ou non. Il y a des circonstances qui ne dépendent pas de nous. Le moment de notre naissance, par exemple, ou qui sont nos parents, nos conditions de vie, l’époque à laquelle nous sommes nés. Les circonstances dans lesquelles nous vivons aujourd’hui diffèrent complètement de celles qu’ont connues nos grands-parents pendant la guerre.
Nous ne pouvons pas dire pourquoi Dieu a placé certaines personnes dans des conditions de vie relativement bonnes, et pourquoi d’autres doivent supporter la guerre, survivre à des tragédies, à la faim, etc. Nous savons par contre, d’une part, que le Seigneur prend soin de tout homme et, d’autre part, que la mort est un passage vers la vie éternelle. Enfin, nous savons que nous sommes responsables d’une bonne partie de ce qui nous arrive, responsables personnellement ou collectivement. Nous sommes responsables de nous et des autres. C’est pourquoi il y aurait moins de tragédies si nous développions ce sentiment de responsabilité.
Comme je voyage souvent en avion, je me suis beaucoup intéressé aux catastrophes aériennes. J’ai regardé une série d’émission canadiennes, « Enquêtes sur les catastrophes aériennes », qui étudie l’histoire des crashs et explique leurs causes, raconte l’enquête. On trouve des histoires affolantes, comme celle-ci : deux pilotes se préparent au vol. Ils rient, ils boivent leur café et vérifient en même temps, en passant, les appareils qui doivent être inspectés avant chaque vol. Ils ont sans doute oublié un bouton, étant occupés à causer ; une hôtesse de l’air entre, ils plaisantent, racontent une blague, etc. Finalement l’avion s’est écrasé. Il peut y avoir beaucoup de causes, mais elles sont généralement plus ou moins liées au facteur humain.
E. Gratcheva : Monseigneur, puisque vous parlez des catastrophes aériennes, je ne peux pas ne pas mentionner ce qu’on appelle le syndrome de Kaloïev, cet homme qui avait perdu sa famille dans une catastrophe aérienne, avait trouvé la peine requise contre le dispatcher suisse trop faible et avait tué cet homme, Nelson. Comme faire pour préserver les pères ayant perdu leurs enfants dans la catastrophe de Kemerovo du désir de se venger ?
Le métropolite Hilarion : Ce que vous et d’autres appelez le syndrome de Kalaïev, on peut aussi l’appeler syndrome de Monte-Cristo. C’est-à-dire le désir de se venger du mal qui nous a été fait sur les gens qui en sont coupables, qui en portent la responsabilité. L’Église a toujours appelé à ne pas le faire, car cela n’aide pas, finalement ; on ne ressuscite pas un enfant en tuant celui qui est coupable de sa mort.
Les coupables doivent répondre de leurs actes devant la loi et être déférés devant ceux qui ont le pouvoir d’exécuter les peines. On ne doit pas se faire justice soi-même, c’est de la justice sommaire. Souvent, les gens sont tout simplement aveuglés par le malheur et ne parviennent pas à évaluer adéquatement le niveau de culpabilité des responsables. Il est facile de se tromper. Il peut se trouver que le suspect n’est pas coupable le moins du monde, et pourtant, le désir de vengeance pousse à prendre les armes, le croyant coupable. Il y a eu assez de cas semblables dans l’histoire et à notre époque.
Le Christ dit dans Sermon sur la montagne : « Vous avez entendu qu’il a été dit : Œil pour œil et dent pour dent. Et bien ! Moi je vous dis de ne pas tenir tête au méchant. Au contraire, quelqu’un te donne-t-il un soufflet sur la joue droite, tends-lui encore l’autre » (Mt 5, 38-39). C’est le principe de non-résistance au mal, qui est fondamental dans l’éthique chrétienne. Le mal engendre le mal, et, comme la flamme jaillit de l’étincelle, un acte mauvais entraîne toute une série d’autres actes mauvais, et il se forme une chaîne du mal qui touchera quantité de gens.
D’un point de vue chrétien, le vainqueur du mal n’est pas celui qui s’est vengé, mais celui qui a su rompre la chaîne du mal et dire : que cela s’arrête à moi. On m’a fait du mal, mais je ne répondrai pas au mal par le mal.
E. Gratcheva : Monseigneur, à Kemerovo, tous ceux qui voulaient donner leur sang n’ont pas pu le faire, il manque d’infirmiers devant cet afflux. D’ordinaire, dans les hôpitaux, il y a toujours besoin de sang, tout le monde le sait. Pourquoi, à votre avis, les gens se montrent-ils aussi solidaires dans les situations extrêmes, critiques ?
Le métropolite Hilarion : Les gens ont répondu à un malheur commun. Certes, on ne donne pas son sang uniquement lors de catastrophes, beaucoup donnent leur sang pour aider des proches, pour répondre à des besoins. Je connais de nombreux cas où des personnes ont aidé des inconnus, aident des enfants, simplement parce qu’ils ont bon cœur.
E. Gratcheva : D’un côté, l’activité, la cohésion des citoyens aident les enquêteurs. Mais où est la limite ? Que pensez-vous de ces appels à collecter de l’argent, à donner son sang, qui se répandent sur les réseaux sociaux ?
Le métropolite Hilarion : Je trouve cela très positif. Dans les moments de tragédie, il faut que les gens se mobilisent pour aider les survivants, aider ceux qui ont perdu des proches, qui se retrouvent sur un lit d’hôpital dans un état critique. Nous ne pouvons pas simplement rendre l’état responsable de tout, faire porter notre responsabilité à d’autres gens. Il me semble que chacun doit réfléchir : que puis-je faire, puis-je faire quelque chose, puis-je apporter ma contribution ?
E. Gratcheva : Monseigneur, je sais que vous avez dédié aux victimes de l’incendie de Kemerovo votre concert du 3 avril, où votre « Passion selon saint Mathieu », sera jouée au Crocus City Hall. La Semaine Sainte commence le 2 avril, la dernière semaine avant la grande fête de Pâques. J’aimerais savoir si le fait de participer aux offices de cette semaine aiderait les proches et les parents des défunts ?
Le métropolite Hilarion : Durant la Semaine sainte, nous nous remémorons la passion et la mort de notre Seigneur Jésus Christ. Jésus Christ n’était pas simplement un homme, il était Dieu incarné. Il n’était pas seulement un Dieu qui observe de loin ce qui arrive aux hommes. Il était Celui qui est entré au plus profond de la vie humaine, des souffrances humaines. Celui qui a pris sur Lui les souffrances humaines.
Lorsque les fidèles, les chrétiens viennent à l’église pour faire mémoire des souffrances du Sauveur, ils ressentent ce dont ils ont le plus besoin dans leur malheur : Dieu est proche. Dieu n’est pas proche simplement parce qu’Il les aide de l’extérieur, pas seulement parce qu’Il entend les prières, répond à ces prières, mais parce qu’Il a aussi souffert, Il est aussi mort sur la croix. Lorsque nous disons que la voie de la résurrection passe par la mort, nous nous souvenons du chemin parcouru par Jésus Christ. En reprenant ce chemin suivi par Jésus Christ, on s’ouvre la voie de la vie éternelle, la voie de la résurrection qui passe par la mort.

Voilà pourquoi la Semaine sainte est une période liturgique si importante. Voilà pourquoi la fête de Pâques est la fête la plus lumineuse, à laquelle on se prépare durant toute l’année. Non seulement parce que quelqu’un est mort il y a deux mille ans et est ressuscité, mais parce que par l’office divin, par la participation aux sacrements de l’Église, nous communions à la mort et à la Résurrection de notre Sauveur.

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