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Le métropolite Hilarion : Le problème ukrainien n’…

Le métropolite Hilarion : Le problème ukrainien n’est pas résolue

Le 29 février 2020, le métropolite Hilarion de Volokolamsk, président du Département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou, a répondu aux questions de la présentatrice de télévision Ekaterina Gratcheva, dans l’émission « l’Eglise et le monde » (Tserkov’ i mir), diffusée sur « Rossia-24 » les samedis et les dimanches.

E.Gratcheva: Bonjour ! Vous regardez l’émission « l’Église et le monde », nous nous entretenons avec le métropolite Hilarion de Volokolamsk, président du DREE, sur l’actualité en Russie. Bonjour, Monseigneur.

Le métropolite Hilarion : Bonjour, Ekaterina ! Chers frères et sœurs, bonjour.

E.Gratcheva: Monseigneur, je sais qu’une grande réunion du Conseil interreligieux de Russie et du Conseil interchrétien a eu lieu la veille de l’enregistrement de cette émission. C’est le patriarche Cyrille qui a été l’initiateur de cette réunion, dont le but était de discuter des amendements à la Constitution et des propositions d’amendements. De quoi a-t-on parlé finalement ?

Le métropolite Hilarion : D’abord, quelques mots sur ces deux organisations. Le CIR est un organisme dans lequel sont représentées les religions traditionnelles, c’est-à-dire l’orthodoxie, l’islam, le judaïsme et le bouddisme. Le Conseil interchrétien rassemble des représentants des confessions chrétiennes présentes dans notre pays et dans les pays voisins. Pour la première fois, ces deux organismes se sont réunis à l’initiative du patriarche Cyrille pour discuter des amendements à la Constitution.

De quoi ont parlé les leaders religieux ? En premier lieu, ils ont constaté que les constitutions de nombreux pays mentionnaient Dieu ou la foi en Dieu, et que les confessions traditionnelles du pays voyaient toutes en Dieu le Créateur. Ensuite, il a été dit qu’il fallait fixer dans la constitution la représentation du mariage comme union d’un homme et d’une femme. Ce n’était pas à l’ordre du jour en 1993, lorsque la Constitution avait été rédigée, parce qu’à l’époque personne ne se posait la question de la nature du mariage. A présent, la question se pose, moins dans notre pays qu’à l’étranger, d’ailleurs. Mais puisqu’il existe une loi, selon laquelle les mariages conclus à l’étranger sont reconnus par la Fédération de Russie, puisque parmi ces mariages il peut désormais y avoir des unions homosexuelles, il faut que la constitution précise que le mariage est l’union d’un homme et d’une femme.

La Hongrie a récemment adopté une nouvelle Constitution, et ces deux points y ont été précisés, c’est-à-dire qu’il y a été fait mention de Dieu et du mariage en tant qu’union d’un homme et d’une femme. Ceci a d’abord suscité un vif mécontentement chez les autorités européennes de Burxelles : tout un bataillon de commissaires européens est descendu en Hongrie pour convaincre le premier ministre de renoncer à ces amendements, mais ils ont été adoptés, comme reflétant le consensus de la majorité de la population hongroise.

Je pense que les amendements proposés par les confessions religieuses et par les dénominations chrétiennes reflètent aussi l’opinion de la majorité des citoyens de notre pays.

E.Gratcheva: Bruxelles n’a pas d’ordres à nous donner, mais à l’intérieur de notre pays, qui est le plus opposé aux amendements proposés par l’Église ? D’où vient cette opposition ?

Le métropolite Hilarion : Pour l’instant, nous n’avons pas encore rencontré d’opposition, cela peut venir dans les prochains jour, mais, pour l’instant, tous ceux avec qui nous avons eu des contacts, y compris les représentants du parti communiste, ont soutenu la mention de Dieu dans la Constitution.

E.Gratcheva: Ne pensez-vous pas qu’il faudrait aussi amender le « Code familial de la Fédération de Russie » ? Il y a eu une très vive discussion autour du terme « mariage civil », qui désigne le concubinage : un représentant de l’Église a qualifié ces unions de « prostitution gratuite », et cela a fait beaucoup de bruit. L’Église n’a pas le désir de fixer la notion de « mariage civil » ?

Le métropolite Hilarion : En ce qui concerne le mariage civil, si l’on entend un mariage enregistré devant l’état civil entre un homme et une femme, sans avoir été béni, notre Église le reconnaît, comme précisé dans  les Fondements de la Conception sociale de l’Église orthodoxe russe. Concernant la déclaration dont vous avez parlé, elle a, effectivement, soulevé une véritable tempête, les gens en parlaient sur internet, dans les médias, y compris dans la presse. Il m’a même semblé qu’il serait correct de s’excuser pour cette expression, je ne l’ai pas fait, mais comme elle émanait d’un représentant officiel de l’Église, il me semble qu’il serait bon de s’excuser devant les femmes qui se sont senties insultées.

Je pense que les confessions traditionnelles de notre pays partagent le souci de préserver dans la société l’idée du mariage comme union entre un homme et une femme, supposant la fidélité conjugale. Selon les canons ecclésiastiques, l’Église considère pleinement comme mariage les unions qu’elle a bénites. Mais nos documents officiels reconnaissent qu’il existe, en dehors des mariages bénis par l’Église, des unions qui ne l’ont pas été pour la simple raison qu’un des époux n’appartient pas à l’Église orthodoxe. Par exemple, dans le cas du mariage d’un musulman avec une orthodoxe, ou d’un orthodoxe avec une athée, ce sont des unions qui ne peuvent pas être bénies par l’Église.

En même temps, nous nous souvenons ce que dit saint Paul : un mari incroyant est sanctifié par sa femme croyante. Nous comprenons aussi qu’il y a des cas où le prêtre doit faire preuve d’une certaine indulgence pastorale, tenant compte des circonstances de la vie des époux.

E.Gratcheva: Mais s’il n’y a pas eu mariage civil, vous n’autorisez pas le couple à communier, n’est-ce pas ?

Le métropolite Hilarion : Selon les normes de l’Église, les conjoints doivent d’abord faire enregistrer leur union, puis nous bénissons leur mariage.

E.Gratcheva: Vous venez de rentrer d’Amman, où a eu lieu cette semaine une réunoin des chefs des Églises orthodoxes locales. Le patriarche de Constantinople, qu’on attendait à cette rencontre, n’est pas venu, bien plus, il a dénoncé cette réunion. Pourquoi cette critique ? Et peut-on parler d’unité panorthodoxe après cela ?

Le métropolite Hilarion : C’est le patriarche de Jérusalem qui a pris l’initiative de la rencontre d’Amman. Pour comprendre son rôle dans l’Église orthodoxe, je rappelle que le christianisme est né au pays que nous appelons la Terre Sainte, la première Église chrétienne était l’Église de Jérusalem. C’est depuis Jérusalem que le christianisme s’est répandu dans le modne.

Au IVe siècle, lorsque le christianisme est devenu, de fait, la religion officielle de l’Empire romain, tandis que sa capitale se déplaçait à Constantinople, ville fondée par l’empereur Constantin, on a fixé l’ordre des églises, ordre qui existe toujours aujourd’hui. La première place était occupée par Rome, la seconde par Constantinople, Jérusalem n’étant qu’à la cinquième place parce que ce n’était plus, alors, qu’un lieu de pèlerinage, et non plus une capitale avec des organes de l’état.

Après qu’au XIe siècle Rome et Constantinople ont rompu la communion, le patriarche de Constantinople s’est retrouvé le premier dans la famille des Églises orthodoxes, et Jérusalem est passé de la cinquième à la quatrième place. Historiquement, cependant, je répète que c’est l’Église de Jérusalem qui fut la première, c’est elle qu’on appelle la Mère de toutes les Églises.

Puisque le patriarche de Constantinople, après ce qu’il a fait en Ukraine, s’est exclu lui-même de la résolution des problèmes qui se sont posés, le patriarche de Jérusalem a pris l’initiative de réunir tous ceux qui souhaiteraient répondre à son invitation. Cinq Églises sur quatorze ont accepté de venir, ce qui en faisait six avec Jérusalem. Quatre d’entre elles étaient représentées par leur primat, deux Églises avaient envoyé des délégations, sans leur primat.

Différents sujets ont été discutés, notamment la situation en Ukraine. Le métropolite Onuphre a prononcé un discours très fort, il a expliqué pourquoi l’Église ukrainienne avait refusé de reconnaître la prétendue « autocéphalie » offerte par le Patriarcat de Constantinople, il a raconté, plus largement, ce qui se passe en Ukraine.

Le métropolite Amphiloque du Monténégro, de l’Église orthodoxe serbe, a parlé de ce qui se passe en ce moment au Monténégro, dont les autorités ont adopté une loi discriminatoire qui peut être utilisée pour extorquer à l’Église canonique ses propriétés et les remettre à des schismatiques. On a aussi discuté de la situation en Macédoine du Nord, où on s’attend prochainement à ce que le patriarche de Constantinople prenne des décisions analogues à celles qu’il a prises pour l’Ukraine.

Il a été décidé de poursuivre ce type de consultations interorthodoxes, de se revoir avant la fin de l’année, de façon que cette nouvelle rencontre soit ouverte à toutes les Églises orthodoxes reconnues, et que le patriarche Bartholomée y soit invité.

E.Gratcheva: Pourquoi les autres ont-elles ignoré cette rencontre ?

Le métropolite Hilarion : Pour différentes raisons. Les Églises grecques, comme l’Église de Grèce et celle d’Alexandrie, l’ont ignorée pour la même raison que celle invoquée par le patriarche de Constantinople, et par solidarité avec celui-ci. Il existe aussi une forme de solidarité grecque qui force souvent les Églises grecques à agir de concert. C’est ce qui s’est produit, et ce n’était pas une surprise.

L’Église d’Antioche n’est pas venu à la conférence parce qu’elle est en conflit avec l’Église de Jérusalem, qui avait convoqué la rencontre. Le conflit porte sur la paroisse du Qatar, fondée par l’Église de Jérusalem, alors que l’Église d’Antioche considère qu’il s’agit de son territoire canonique. Il y existe donc une rupture de la communion entre deux Églises à cause d’une seule paroisse, imaginez ce que cela donne lorsque Constantinople cherche à nous arracher plus de 12000 paroisses.

E.Gratcheva: J’entends bien, mais pour moi, comme pour nos auditeurs, cela rappelle une série télévisée politique du genre de « La Maison de cartes ». Afin de mettre fin à tout cela, quelqu’un doit s’arrêter le premier. L’Église orthodoxe russe ne pourrait-elle être celle qui s’arrêterait la première ?

Le métropolite Hilarion : Mais nous n’avons rien fait, nous n’avons pas à nous arrêter ! Ce qui a causé le schisme, ce sont les actes d’un homme, le patriarche de Constantinople. Nous n’avons rien pris à personne, nous ne prétendons à rien, nous voulons seulement conserver notre Église dans ses frontières historiques. Nous suivons la volonté de nos ouailles, de notre épiscopat ; nos fidèles, aussi bien en Russie qu’en Ukraine sont fermement attachés à une unité qui existe depuis plus de mille ans.

C’est pourquoi il ne s’agit pas de s’arrêter, mais de savoir comment cela va continuer, jusqu’où ira le patriache de Constantinople dans ses prétentions, non seulement à l’autorité universelle, mais à l’infaillibilité. Vous connaissez le dicton Roma locuta, causa finita : Rome a parlé, la cause est entendue. On nous dit aujourd’hui que si Constantinople a décidé quelque chose, il n’y a plus qu’à se soumettre, « Istanbul a parlé, la cause est entendue ». Mais le problème de l’Ukraine n’est pas résolu. Istanbul a parlé, ils ont publié un tomos, que les gens n’ont pas accepté : l’épiscopat ne l’a pas accepté, le clergé ne l’a pas accepté, donc la cause n’est pas entendue, l’histoire continue.

Quant à la série télévisée, vous savez qu’il va sortir une série sur la chute de Constantinople. Il y a eu aussi des séries sur les papes de Rome. Je pense que notre histoire passera un jour à l’écran, mais j’aimerais mieux que cette série ait, comme on dit, un happy end, c’est-à-dire qu’elle se termine bien pour tout le monde.

E.Gratcheva: Merci, Monseigneur, de cet entretien.

Le métropolite Hilarion : Merci, Ekaterina.

Dans la seconde partie de l’émission, le métropolite Hilarion a répondu aux questions posées par les auditeurs sur le site du programme « L’Église et le monde ».

Question : Le Grand Carême va commencer. Comment le vivre pour qu’il profite à l’âme et au corps ?

Le métropolite Hilarion : Le Grand Carême est un temps institué par l’Église pour se préparer spirituellement à la Semaine Sainte et à Pâques. Le Grand Carême dure six semaines, sept avec la Semaine sainte. Durant le Grand Carême, si l’on s’en tient aux règles de l’Église, on ne mange ni viande, ni produits laitiers, on ne mange même pas de poisson, sauf certains jours de fête.

Bien entendu, le sens du jeûne ne tient pas seulement à l’abstinence alimentaire. Comme dit l’apôtre Paul (ces paroles, ont récemment été lues avant le Grand Carême), « la nourriture ne nous rapproche pas de Dieu » (I Co  8,8). C’est pourquoi les normes diététiques, que beaucoup sont, d’ailleurs, prêts à suivre aujourd’hui, servent surtout à faciliter la vie spirituelle. Le Grand Carême est un temps de pénitence où l’on se corrige, c’est un temps où l’on passe plus de temps à prier, où l’on fait plus attention à sa vie spirituelle, aux bonnes œuvres. Par ailleurs, le Grand Carême permet de se débarasser de ses mauvaises habitudes. Si vous fumez, par exemple, le début du Carême est une bonne occasion d’arrêter. Si vous réussissez à tenir sept semaines, peut-être, avec l’aide de Dieu, n’aurez-vous plus envie de renouer avec cette habitude néfaste.

Le Grand Carême est un temps où chacun doit prendre le temps de lire de la littérature spirituelle. Relire, par exemple, les quatre Évangiles, où, pour ceux qui ont plus de temps, certains livres de l’Ancien Testament, ou les épîtres de saint Paul. L’expérience montre que ceux qui vivent le Carême tel que l’Église le propose, éprouvent à Pâques une joie spirituelle inexprimable. Bien que Pâques soit, naturellement, une fête pour tous, pour ceux qui ont jeûné, comme pour ceux qui n’ont pas jeûné.

Question : Je suis en train de perdre la foi, j’en viens à penser que Dieu n’existe pas, qu’Il est le fruit de l’imagination humaine. Je viens à l’église et tout m’agace, me semble faux. Comment retrouver la foi ?

Le métropolite Hilarion : Pour répondre à votre question, il faudrait que je sache quelle était votre foi, pour quelles raisons elle a pu ainsi s’affaiblir. Il faut dire que tout homme, dans sa vie spiruelle, passe par des temps de crise. Il y a des crises semblables dans la vie de famille : un homme et une femme se sont mariés par amour, puis, pour différentes raisons, l’amour diminue. Si les conjoints ont la volonté de préserver leur couple, ils trouvent la possibilité d’entreprendre quelque chose pour surmonter la crise.

Je pense qu’il ne faut pas que vous restiez seuls, il vous faut échanger avec d’autres croyants. S’il y a autour de vous des croyants avec qui vous pouvez parler librement, peut-être vous diront-ils qu’ils sont eux-mêmes passés par une crise semblable. Peut-être vaut-il la peine d’aller parler avec un prêtre. Si l’atmopshère de la liturgie vous irrite, faites  une pause, n’allez pas à l’église, développez d’autres aspects de la vie religieuse. Lisez l’Évangile, par exemple. Il arrive qu’on ouvre l’Évangile et qu’un texte qu’on croyait bien connaître vous découvre le Christ sous un nouveau jour, ou vous révèle le sens de votre propre vie. Efforcez-vous de ne pas vous enfermer sur vous-mêmes, rencontrez des gens, faites le bien autour de vous. Je ne doute pas que la foi reviendra.

Question : Que doit savoir une chrétienne orthodoxe ? Quels livres, quelles vies de saints faut-il lire ? Par quoi commencer ? J’ai douze ans.

Le métropolite Hilarion : Douze ans, c’est un âge excellent pour commencer sa propre éducation chrétienne. Le livre de chevet de tout chrétien et de toute chrétienne doit être l’Écriture Sainte, que nous appelons la Bible et qu’on peut lire toute sa vie sans s’en lasser. Si vous avez une Bible, il ne faut pas commencer par le début, ni essayer de lire la Bible de bout en bout, vous risquez fort de ne pas y arrivez. Ouvrez la Bible au début du Nouveau Testament, ou bien achetez le Nouveau Testament, c’est la partie la plus importante pour le chrétien. Ce livre est lui-même divisé en plusieurs parties, dont les quatre Évangiles, de Mathieu, Marc, Luc et Jean.

Le mot « Évangile » veut dire « bonne nouvelle ». Il n’y a qu’un seul Évangile, qui est la bonne nouvelle apportée sur terre par Jésus Christ, Dieu fait homme. Mais quatre témoins ont décrit Sa vie, ce qu’Il a fait, ce qu’Il enseignait. Il y en avait, naturellement, bien plus, mais quatre d’entre eux ont laissé un récit... Commencez par lire l’Évangile de Mathieu, puis celui de Marc, puis celui de Luc. Vous verrez que beaucoup de récits se recoupent. Mais ces recoupements ne nuisent pas au récit, parce qu’on peut contempler inlassablement l’image de Jésus Christ, et chacun des Évangiles en révèle différents aspects.

Il faut lire aussi des livres qui parlent de la foi orthodoxe, par exemple ce qu’on appelle la Catéchèse. Il y a 200 ans, saint Philarète de Moscou a composé une cathéchèse, mais vous aurez peut-être un peu de mal à comprendre ce livre, rédigé dans une langue vieillie. Pour ma part, j’ai aussi écrit un livre intitulé « Catéchèse », destiné au lecteur d’aujourd’hui. Si vous le trouvez, j’espère qu’il vous permettra de découvrir les fondements de la foi orthodoxe. Il est très important de s’engager, et il est très important de ne jamais dévier de la voie de la connaissance de Dieu, sur laquelle vous commencez à marcher à douze ans.

Je terminerais cette émission en citant saint Paul : « Toute Écriture est inspirée de Dieu, et utile pour enseigner, pour convaicnre, pour corriger, pour instruire dans la justice » (II Tm 3,16).

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