Département des relations ecclésiastiques extérieures
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Le métropolite Antoine de Volokolamsk célèbre un office d’intercession à la cathédrale Saint-Alexandre-Nevski de Sofia
Service de communication du DREE, 23.11.2024. Le 22 novembre, le métropolite Antoine de Volokolamsk, président du Département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou, s’est rendu à la cathédrale Saint-Alexandre-Nevski de Sofia, principale église de l’Église orthodoxe bulgare. Mgr Antoine était en visite en Bulgarie avec la bénédiction de Sa Sainteté le patriarche Cyrille pour participer aux festivités du centenaire de la consécration de cette cathédrale.
Le métropolite Antoine et la délégation l’accompagnant étaient attendus à l’entrée de la cathédrale par le recteur de celle-ci, l’évêque Gérasime de Melnik. Ayant vénéré les reliques et icônes, Mgr Antoine et Mgr Gérasime ont célébré un Te Deum solennel en l’honneur du centenaire de la consécration de la cathédrale. L’archiprêtre Nicolas Balachov, conseiller du patriarche de Moscou et de toutes les Russies, l’archiprêtre Igor Iakimtchouk, vice-président du DREE, et l’archiprêtre Vladimir Tychtchouk, recteur de la représentation de l’Église orthodoxe russe à Sofia, concélébraient.
Après l’office, l’évêque Gérasime de Melnik a prononcé un discours d’accueil à l’intention de la délégation de l’Église orthodoxe russe. Il a exprimé sa joie de la prière partagée dans cette église dédiée à saint Alexandre Nevski bâtie conjointement par les Russes et les Bulgares et témoignant de la fraternité chrétienne unissant les deux peuples depuis des siècles. Mgr Antoine a répondu en soulignant que la cathédrale de Sofia n’était pas seulement une maison de prière, mais aussi un monument aux soldats russes ayant donné leur vie pour la liberté du peuple bulgare, accomplissant ainsi le commandement évangélique : « Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis » (Jn 15,13). Suivant le hiérarque, l’unité des deux peuples est fondée sur la foi orthodoxe et une histoire commune, et aucune force du mal ne saurait faire vaciller cette unité.
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