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Le métropolite Hilarion : Si un enfant a des …

Le métropolite Hilarion : Si un enfant a des dons, il faut les développer

Le 11 novembre 2017, le métropolite Hilarion de Volokolamsk a répondu aux questions de la présentatrice Ekaterina Gratcheva, sur la chaîne « Rossia-24 » dans l’émission « L’Église et le monde » (Tserkov’ i mir), diffusée les samedis et les dimanches.
E. Gratcheva : Bonjour, vous regardez l’émission « L’Église et le monde », nous nous entretenons de l’actualité en Russie et dans le monde avec le métropolite Hilarion de Volokolamsk, président du Département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou.
Le métropolite Hilarion : Bonjour, Ekaterina, bonjour chers frères et sœurs !
E. Gratcheva : Il y a quelques temps, l’administration présidentielle a lancé un programme appelé « Les leaders de la nouvelle Russie ». Ne croyez-vous pas que des personnes de la direction de l’Église orthodoxe russe qui ne servent pas à l’autel pourraient aussi participer à ce projet ? Ils sont responsables de l’organisation d’importantes manifestations, ils ont la charge de grands groupes de paroissiens. Qu’en pensez-vous ? Encourageriez-vous la participation à un projet comme celui-là ?
Le métropolite Hilarion : Oui, j’encouragerais volontiers cette participation. Je pense que ce programme est très intéressant en soi, il permet de découvrir des personnes ambitieuses, dans le bon sens du terme, qui ne sont pas indifférentes au sort de leur pays, engagées et, surtout, qui veulent élever leur propre niveau intellectuel et, peut-être, dans un certain sens, leur niveau spirituel. Je pense que les intérêts de l’Église et de l’état sont si étroitement imbriqués aujourd’hui que les gens doivent prendre part à des projets semblables aussi bien en tant qu’enseignants qu’en tant qu’élèves.
E. Gratcheva : Et qui sont-ils, les leaders de l’Église orthodoxe russe, je ne parle pas des ecclésiastiques qui célèbrent à l’autel, mais des laïcs, travaillant dans des bureaux, comme la majorité des Russes ? Il existe un stéréotype, comme quoi les gens qui travaillent pour l’Église sont peu instruits et socialement mal installés. Est-ce une réalité ?
Le métropolite Hilarion : Je juge d’après l’institution que je préside, le Département des relations ecclésiastiques extérieures. Nous avons des exigences concrètes envers nos collaborateurs. Ils doivent avoir un niveau universitaire et connaître les langues étrangères. Si un candidat qui ne connaît pas les langues étrangères vient me trouver, il n’est généralement pas retenu.
Certes, toutes les institutions synodales ne font pas de la connaissance des langues étrangères une condition, mais, le niveau général, le niveau intellectuel des collaborateurs de l’appareil administratif de l’Église s’est largement élevé ces dernières années, car le patriarche, le Synode, le Haut conseil nous confient des responsabilités de plus en plus grandes. A mesure que croissent ces responsabilités, les exigences envers le niveau intellectuel des employés deviennent aussi plus strictes.
L’Église est une structure hiérarchique et les leaders, ceux qui dirigent l’Église, sont les évêques, les prêtres dans leurs paroisses, les higoumènes dans leurs monastères, mais il existe un nombre important de postes à responsabilité qui sont occupés par des laïcs, loin d’être par des gens peu instruits ou ignorants. Par exemple, l’actrice Ekaterina Vassilieva est marguillier d’une paroisse de Moscou, son fils étant prêtre.
E. Gratcheva : Ces derniers jours, on a vu paraître sur internet des gros titres, comme quoi le patriarche Cyrille verrait un lien entre le nombre d’avortements dans le pays et le nombre de travailleurs immigrés. Que voulait dire le primat ? Dans quelles circonstances en a-t-il parlé ?
Le métropolite Hilarion : Le patriarche intervenait lors du congrès des travailleurs sociaux de l’Église orthodoxe russe. Il s’agit d’une importante manifestation, où se rassemblent des gens qui travaillent dans le social pour les paroisses et les diocèses. L’une des questions posées concernait les travailleurs immigrés.
Ce n’est un secret pour personne que beaucoup d’étrangers viennent travailler en Russie. On les désigne du mot allemand peu clair de « gastarbeiter ». Environ deux millions d’Ouzbeks travaillent en Russie. Environ deux millions de ressortissants ukrainiens se trouvent dans notre pays, et ce chiffre devrait augmenter, puisque la politique de l’état ukrainien envers la population russophone ne fait que se durcir. Parmi les « gastarbeiter », il y a aussi des russophones qui viennent de pays où ils sont mal traités, et il y a des citoyens natifs de pays frontaliers avec la Russie, où les salaires sont bas, les revenus peu élevés. Les gens viennent ici pour gagner de l’argent.
De quoi a-t-il été question dans le discours du patriarche ? De ce qu’à cause du grand nombre d’avortements, la Russie n’avait pas assez de main d’œuvre. Le ministre de la Santé a bien sûr parlé de la réduction du nombre d’avortements. Les chiffres sont effectivement assez impressionnants, le nombre d’avortements a réellement diminué, grâce à une politique adaptée, grâce à la création de lieux supplémentaires où les femmes peuvent venir consulter. On a aussi mis en place une « semaine du silence », autrement dit, il n’est plus aussi facile d’avorter qu’avant. Malgré tout, le nombre d’avortements reste toujours élevé dans notre pays. Sans ce nombre d’avortements, si tous les enfants qui auraient pu naître été nés, la main d’œuvre serait suffisante, et il ne serait pas nécessaire de faire venir des gens de l’étranger pour travailler pour nous.
E. Gratcheva : Le mot « gastarbeiter » est entré dans l’usage, et désigne des étrangers venant des pays de la CEI. Mais certains de nos citoyens deviennent gastarbeiter à leur tour, autrement dit, ils travaillent pour des pays étrangers. Parmi eux, beaucoup de mineurs.
Une information venant de Chine nous a choqués il y a quelques jours : une jeune mannequin de Perm, Vlada Dziouba (elle n’avait que 14 ans) est morte dans des circonstances qui ne sont pas complètement élucidées : soit de surmenage, soit d’épuisement physique. A votre avis, quel travail rémunéré est acceptable pour les mineurs ? Et que pensez-vous du mannequinat pour les enfants ? Beaucoup de parents pensent que travailler sous le feu des caméras tout jeune permet aux enfants de se socialiser, de se sentir plus sûr d’eux, de se libérer de leurs complexes. Qu’en pensez-vous ?
Le métropolite Hilarion : S’agissant du mannequinat, tout le monde sait qu’il s’agit d’un business hautement risqué. Avant tout, il y a le risque de la perte de la chasteté pour la jeune fille qui va travailler aussi jeune dans un pays étranger, où elle tombera dans les mains d’inconnus. Je m’étonne beaucoup que des parents permettent à leurs enfants de devenir top-model à 14 ans et de partir dans des pays lointains. Sans parler même de l’absence d’une assurance médicale dans le cas présent.
Je crois que la conscience des risques engendrés par le métier de mannequin doit prendre le pas, chez les parents, sur toute autre considération. Ils doivent protéger l’enfant du mal, le garder des risques. Certes, les enfants peuvent gagner un peu d’argent là où il n’y a pas de risques pour leur santé, là où cela peut servir à leur développement. Ils peuvent faire des stages, comme le font les étudiants de nombreuses universités et les élèves des grandes classes afin d’acquérir l’expérience qui leur servira plus tard dans leur métier. Mais il ne s’agit sûrement pas du mannequinat, du show-business, où, je le répète, le risque de perdre la chasteté, ce qui arrive presque automatiquement dans le monde du mannequinat, est très sérieux, notamment pour les femmes. A la place des parents, je réfléchirais cent fois avant de laisser mon enfant s’engager dans une voie aussi périlleuse.
E. Gratcheva : Beaucoup de mères assistent aux prises de vue de leurs enfants et agissent en qualité de producteur. Que pensez-vous du fait que l’enfant prend conscience, dès son plus jeune âge, de ne recevoir de l’argent que grâce à son physique ?
Le métropolite Hilarion : Il y a des histoires très différentes de gens qui ont commencé à travailler dès leur plus jeune âge, et dont les parents se faisaient de l’argent grâce à eux. Mozart, par exemple, a commencé à se produire en concert lorsqu’il était enfant. Cela ne l’a pas empêché de grandir et de devenir un génie. Au contraire, Robertino Loretti, un garçon qui chantait, qui a fasciné notre pays pendant plusieurs années, a ensuite perdu la voix, ou plus exactement, après la mue il n’a pas pu continuer à chanter. On pourrait citer des exemples très différents.
Je pense qu’en principe, si un enfant a des dons, il faut les développer, pour que l’enfant puisse montrer ses talents, mais, il faut en même temps, l’aider à se perfectionner sans cesse. Il y a aussi des exemples de ce genre, mais cela exige beaucoup d’attention de la part des parents.
Lorsque j’étais à l’école spéciale de musique de Moscou, il y a avait à l’école un garçon très talentueux, Jénia Kissine. A 11 ans, il donnait déjà des concerts solo à la Grande salle du Conservatoire de Moscou. Il voyageait, donnait des concerts, mais je me souviens que ses parents étaient très stricts : ils assistaient toujours aux concerts, sa pédagogue était toujours auprès de lui. Ils n’ont pas permis à son jeu d’évoluer en show-business. Grâce à cela, il est devenu un pianiste de première classe. Malheureusement, toutes les histoires ne se terminent pas aussi bien.
E. Gratcheva : Monseigneur, les parents moscovites se sont récemment prononcés contre la proposition du Service fédéral antimonopoliste sur l’introduction de cours d’information sur les préservatifs et les autres méthodes de contraception à l’école. L’internet a été le théâtre de chaudes discussions, les uns produisant les statistiques du nombre croissant d’infections VIH, les autres affirmant que c’était une mesure « suicidaire », irréfléchie, etc. Que pensez-vous des arguments pour et contre ?
Le métropolite Hilarion : Je suppose que beaucoup de téléspectateurs orthodoxes attendent de moi que je dise que l’Église s’oppose catégoriquement aux cours d’éducation sexuelle. Mais je ne peux pas l’affirmer, car cela dépend de la façon dont ces cours sont organisés. Si ces leçons, comme c’est malheureusement souvent le cas, servent à pervertir les écoliers et les jeunes gens, l’Église est naturellement contre. Mais, en même temps, il ne me semble pas bon que les enfants ignorent les choses les plus élémentaires sur la sécurité sexuelle, qu’ils n’observent aucune mesure de prudence qui leur permettrait, par exemple, de ne pas être infecté par le SIDA ou de ne pas attraper une infection ou une maladie vénérienne. Sur ce plan, il faut un travail pédagogique, faire de la prévention. Mais elle doit être conduite chastement, et les parents doivent être au courant.
Autre chose : on dit souvent que les enfants doivent tout apprendre de leurs parents. Les parents doivent expliquer, le moment venu, comment on fait les enfants, comme tout cela s’organise et comment cela se passe. Mais la statistique dont vous parlez montre qu’on évite d’aborder ces thèmes dans beaucoup de familles, ou bien que les parents laissent passer le moment où ils devraient donner des explications à leur enfant. Finalement, lorsqu’ils sont eux-mêmes prêts à entamer la conversation sur ce thème, ils découvrent que leur enfant sait déjà tout, qu’il a pris ailleurs ses informations.
Je pense que ces différents facteurs doivent inciter à prendre des décisions équilibrées sur la forme et le volume de semblables leçons à l’école.
E. Gratcheva : Nous avons souvent parlé des offenses contre les sentiments des croyants dans notre émission. Mais nous avons appris récemment qu’un habitant de Krasnoïarsk a été soupçonné d’offense aux sentiments des athées, à cause de poésies qu’il a publiées sur internet. Une plainte a été déposée contre Maxime Drozdov. Vous êtes au courant de cette histoire ?
Le métropolite Hilarion : Je connais cette histoire, mais il me semble qu’on spécule ici sur ce genre d’affaires, et qu’on mène jusqu’à l’absurde des situations qui ne le sont finalement pas. Je ne pense pas, par exemple, que publier de la littérature athéiste soit une offense aux sentiments des croyants. Si quelqu’un dit qu’il ne croit pas en Dieu, cette déclaration n’offense pas les sentiments religieux des autres. Mais si quelqu’un profane des objets sacrés, s’il commet des actes de vandalisme, écrit des mots orduriers sur les murs des églises, commet différents actes blasphématoires, appelle à des actes d’agression sur internet, on peut dire qu’il attise la haine ou qu’il porte atteinte aux croyants.
Je pense que la même chose peut s’appliquer aux incroyants. Si nous, croyants, publions de la littérature religieuse, ce n’est pas une atteinte aux sentiments des incroyants. Si nous avons des églises, si nous sortons en procession, si nous intervenons à la télévision, ce n’est pas offensant pour les sentiments des incroyants. Mais si nous nous exprimons de façon offensante pour une personne concrète ou pour un groupe de personnes concret, si nous nous servons inconsidérément de notre langue ou de nos poings, nous risquons de tomber sous le coup de la loi.
E. Gratcheva : Monseigneur, c’est ce qui provoque des discussions, parce que lorsque quelqu’un écrit des ordures sur une église ou profane des objets sacrés, il offense évidemment les sentiments des croyants. Mais les athées n’ont ni sanctuaires, ni églises. Il est donc difficile de dire ce qui porte atteinte à leurs sentiments ?
Le métropolite Hilarion : Les athées ont aussi leurs sanctuaires. Le mausolée de Lénine, par exemple. Si nous appelons à enterrer Lénine, je ne pense pas que ce soit une offense pour les athées. Mais si nous nous munissons de bouteilles incendiaires et les jetons sur le mausolée ou si nous commettons des outrages contre le corps qui y est gardé, ce sera une offense aux sentiments des athées. J’estime que ce genre d’action est aussi illégal que celles visant à offenser les sentiments des croyants.
Quant à ce qu’on peut qualifier d’offensant pour les sentiments des chrétiens, il existe des exemples datant d’avant la révolution : la publication de la « Gabriliade » de Pouchkine, par exemple, qui était une parodie blasphématoire de l’histoire de l’Annonciation de la Très-sainte Mère de Dieu.  Pouchkine a payé pour cela. Ensuite, il a mûri, il a pris conscience du caractère blasphématoire de son œuvre, il s’en est sincèrement repenti. Mais si quelqu’un ne se repent pas et continue à blasphémer pendant toute sa vie, c’est une autre histoire.
Dans la seconde partie de l’émission, le métropolite Hilarion a répondu aux questions des téléspectateurs posées sur le site de l’émission « L’Église et le monde », vera.vesti.ru.
Question : Comment lire correctement l’Évangile et qu’est-ce que l’Évangile du jour ?
Le métropolite Hilarion : L’Évangile du jour, c’est un passage de l’Évangile, lu durant l’office divin. A chaque jour correspond un passage. L’Église a divisé les quatre Évangiles en 366 passages, selon le nombre de jours du calendrier. On lit donc chaque jour un passage donné, ce qui permet de lire tout l’Évangile durant l’année. Certains chrétiens ont l’habitude de regarder le calendrier et d’y chercher les références du passage du jour pour le lire. C’est une façon pratique de lire l’Évangile, qui permet de suivre le texte sacré au quotidien.
En lisant l’Évangile suivant le calendrier ecclésiastique, vous remarquerez sans doute que vous ne suivez pas le texte évangélique dans l’ordre : certains passages sont omis, d’autres ne sont pas dans l’ordre du texte. Il est donc très important, bien entendu, de connaître le texte de l’Évangile lui-même dans son entier. Votre lecture de l’Évangile ne doit donc pas obligatoirement dépendre d’une date concrète du calendrier, il faut se donner pour règle de lire un chapitre ou une péricope de l’Évangile tous les jours, de façon à lire de façon suivie, et à avoir ainsi lu l’Évangile en entier.
Par ailleurs, dans les éditions récentes du Nouveau Testament, vous trouverez en marge des indications auxquelles on porte souvent peu d’attention. Il s’agit plus exactement d’une colonne indiquant les passages parallèles. Ces parallèles montrent dans quels Évangiles on retrouve le même récit, car les textes se répètent souvent. Il peut être utile et intéressant de comparer comme la même histoire est exposée différemment dans les Évangiles de Mathieu, de Marc et de Luc, sur quoi tel ou tel évangéliste a mis l’accent.

Si vous lisez l’Évangile non pas en scientifique, pas dans le but d’étudier le texte, mais pour qu’il devienne le livre d’après lequel vous bâtirez votre vie (et c’est dans ce but qu’il faut lire l’Évangile), efforcez-vous de rapporter ce que dit Jésus Christ à votre propre vie. Demandez-vous : est-ce que je veux vivre comme Jésus l’a commandé, puis-je vivre et est-ce que je vis ainsi ? Si vous organisez votre vie autour de cet axe évangélique, vous ressentirez que l’Évangile devient votre guide, et votre vie s’améliorera peu à peu, acquérant une dimension tout à fait nouvelle. C’est ce que je souhaite sincèrement et cordialement à chacun de vous.

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