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Le métropolite Hilarion : Il n’y a aucun pouvoir supérieur à l’Église orthodoxe locale, en dehors du pouvoir de Dieu Lui-même

Dans une interview à la revue « Boss », le métropolite Hilarion de Volokolamsk, président du Département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou, a expliqué ce que cache l’intention du Patriarcat de Constantinople d’instituer une « autocéphalie » en Ukraine ; il a parlé des conséquences géopolitiques de ce « projet » et de la position de l’Église orthodoxe russe.

- Éminence, parlez-nous du Département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou, dont vous êtes le président. Quelles sont ses fonctions ? Comment interagit-il avec le Département synodal aux relations de l’Église avec la société et les médias, présidé par Vladimir Legoïda ?

-Le Département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou est le plus ancien département synodal de l’Église orthodoxe russe. Il a été fondé en 1946 pour maintenir les contacts avec les expatriés, établir un dialogue avec l’Église catholique et avec les dénominations protestantes. A l’heure actuelle, le Département des relations extérieures a un agenda très rempli : il est chargé des contacts avec les Églises orthodoxes locales, du dialogue interchrétien, du dialogue interreligieux, de la pastorale des compatriotes de l’étranger. Nous interagissons aussi avec les autres départements synodaux de l’Église orthodoxe russe, y compris le Département aux relations de l’Église avec la société et les médias, que vous avez mentionné. Dans ce domaine, les fonctions des deux départements ne se recoupent pratiquement pas, bien qu’il existe, naturellement, un certain nombre de questions qu’il nous faut résoudre en commun.

  • Suivant les statuts de « l’église ukrainienne unifiée », le chef de la nouvelle structure peut porter le titre de métropolite, et non celui de patriarche, il a donc un rang inférieur à celui du primat de l’Église orthodoxe russe.

Il n’aura pas le titre de patriarche. Bien plus, le patriarche Bartholomée et Porochenko ont décidé que Philarète ne serait pas le chef de la nouvelle structure, et n’y aurait aucune fonction. Il faut dire que son prétendu épiscopat semble avoir été d’accord. Pour faire simple, ils ont « trahi » leur chef, celui auquel ils devaient tout.

  • Visiblement, cette tentative de séparer l’orthodoxie ukrainienne de notre Église orthodoxe commune a rapport avec la politique, ce n’est pas une question de foi. Comment se fait-il que le patriarche de Constantinople interfère dans la politique et prenne le parti des schismatiques ukrainiens ?

Le Patriarcat de Constantinople, pendant tout le XXe siècle, s’est efforcé d’affaiblir l’Église orthodoxe russe. Chaque fois que l’Église russe était en difficulté, Constantinople ne lui venait pas en aide, mais, au contraire, tentait de lui arracher des morceaux. C’est ainsi qu’ont été créées, en 1924, l’Église orthodoxe polonaise, puis l’Église finlandaise autonome. En 1996, profitant de la situation politique, Constantinople est intervenu en Estonie et y a créé sa juridiction, ce qui a provoqué une rupture de la communion eucharistique de quatre mois entre Constantinople et Moscou. Ce qui se passe aujourd’hui relève de la même logique. Cependant, il ne s’agit pas, à l’heure actuelle, d’un groupe important de croyants et de paroisses, comme ce fut le cas en Estonie, mais de millions de fidèles, de 13000 paroisses et de plus de 200 monastères que Constantinople tente par des actes de brigandage d’arracher à l’Église orthodoxe ukrainienne, et, par là, d’affaiblir l’Église orthodoxe russe.

  • Est-ce parce que Bartholomée « mange dans la main » des Américains ? N’est-ce, finalement, qu’une nouvelle tentative des États-Unis pour diviser Ukrainiens et Russes, pour nuire à la Russie ?

Tout à fait. Le patriarche Bartholomée est l’un des éléments d’un grand projet géopolitique, visant à l’affaiblissement progressif de la Russie, à la confrontation entre Russes et Ukrainiens. L’Église orthodoxe russe, qui sert de trait d’union entre ces peuples, est aujourd’hui peut-être le principal obstacle à la réalisation des plans américains. Le patriarche de Constantinople, comme vous l’avez justement remarqué, est financé par l’Amérique, il met en œuvre ce que la direction américaine lui demande, et les dirigeants américains ne cachent même pas qu’ils sont les commanditaires de cette aventure. Le patriarche Bartholomée ne cache pas spécialement non plus qu’il fait ce qu’on lui demande. Certes, il essaye d’enrober cela dans de belles formules, il se réfère à des canons inexistants, qui lui donnent soi-disant le droit de prendre unilatéralement des décisions sur l’octroi de l’autocéphalie. Il dit que cette décision guérira le schisme en Ukraine. Mais c’est le contraire qui se produit : cette décision ne peut qu’approfondir le schisme, et c’est ce qui se passe.

  • En quoi le séparatisme de l’Église ukrainienne est-il dangereux et inacceptable pour le Patriarcat de Moscou ?

Avant tout parce que la volonté du peuple ukrainien, la volonté de la majorité de la population orthodoxe ukrainienne est de rester unie à l’Église orthodoxe russe. Or, le tomos d’autocéphalie lui est aujourd’hui imposé contre sa volonté. De façon générale, la situation est ridicule : pour la première fois dans l’histoire, l’autocéphalie est imposée aux croyants, et ce aux moyens de pressions : des prêtres et des évêques ont été convoqués au SBU, ils ont été fouillés, on menace de les traduire en justice, bref, on fait tout pour qu’ils rejoignent la structure créée par le patriarche Bartholomée. C’est une manière de faire absolument ignoble, d’un point de vue chrétien elle est anti-canonique et inacceptable, d’un point de vue humain, c’est lâche et criminel.

  • Le patriarche Bartholomée déclare que le Patriarcat de Moscou n’aura pas le choix, qu’il finira par accepter l’autocéphalie ukrainienne, et il a failli priver l’Église russe du droit à être une Église locale. Quels droits, de façon générale, possède Constantinople ?

Le patriarche Bartholomée s’est arrogé le droit d’accorder unilatéralement l’autocéphalie. Cependant, dans les années 1980-90, il y a eu des négociations entre les Églises orthodoxes locales sur le thème de l’autocéphalie. Il a été décidé qu’aucune autocéphalie ne serait plus proclamée unilatéralement, mais uniquement avec l’accord de toutes les Églises orthodoxes locales. Cette décision n’a pas reçu de formulation définitive, elle n’a pas été menée à bien, mais un accord de principe avait été atteint.

Constantinople veut complètement l’ignorer, de même qu’il préfère ignorer avoir reconnu l’Église orthodoxe ukrainienne comme faisant partie de l’Église orthodoxe russe durant plus de 300 ans. Aujourd’hui, Constantinople affirme qu’il n’en était rien, mais il existe quantité de documents qui témoignent du contraire : la réunion de la métropole de Kiev au Patriarcat de Moscou, a non seulement été reconnue par Constantinople, mais, bien sûr, le patriarche Denis de Constantinople a rédigé un document spécial à ce sujet, et, pendant plus de 300 ans, ce document n’a pas été contesté. Aujourd’hui, Constantinople a annoncé son intention de l’annuler.

Imaginez que vous ayez une maison de famille, dans laquelle ont vécu vos parents, vos grands-parents et tous vos aïeux, où vivent vos enfants et vos petits-enfants. Un jour, un monsieur arrive qui vous dit que l’usage de cette maison a été concédé à votre famille il y a 300 ans, mais qu’elle ne lui a pas été offerte. Puisque ce monsieur a décidé qu’il était temps de résiller le contrat, vous devez vider les lieux. Ce n’est pas autre chose que du banditisme.

  • Vous avez dit récemment que la conduite actuelle du patriarche Bartholomée était une sorte de vengeance contre le patriarche Cyrille de Moscou et de toute la Russie, qui aurait contribué à l’échec du Concile de Crète...

J’en suis convaincu. Je le sais d’après mes échanges personnels avec le patriarche Bartholomée et d’après les déclarations qu’il s’est permis de faire en public. Le patriarche Bartholomée estime, pour une raison quelconque – peut-être l’en a-t-on persuadé – que le Concile de Crète a échoué à cause du patriarche Cyrille qui aurait convaincu en sous-main certaines Églises locales de ne pas y participer. En fait, c’est d’abord l’Église bulgare qui a annoncé qu’elle n’y participerait pas, ce qui nous a extrêmement surpris ; elle a été suivie de l’Église d’Antioche, puis de l’Église géorgienne. Ensuite, l’Église serbe a déclaré qu’il fallait reporter le Concile de Crète. Dans ce contexte, quand il est devenu clair que quatre Églises reconnues de tous renonçaient à participer au Concile, nous avons pris la décision de nous abstenir également. Nous l’avons motivée uniquement par le fait que pendant tout le processus préconciliaire il avait été répété que les décisions seraient prises au concensus ; on avait insisté sur le fait que le consensus n’était pas simplement l’accord de tous les présents, mais l’accord de toutes les Églises locales. Nous avons compris que si certaines décisions étaient prises en l’absence de l’une ou l’autre Église, même en l’absence d’une seule Église, cela voulait dire que qu’elle ne les accepterait pas par la suite. Nous avons averti le patriarche Bartholomée. Lorsqu’il restait encore deux ou trois semaines avant l’ouverture du Concile de Crète, nous avons demandé à convoquer une réunion préconciliaire extraordinaire, où il aurait été possible de résoudre le problème. Mais le patriarche Bartholomée a refusé, disant que tous étaient forcés de venir au Concile. Nous avons pris la décision de ne pas participer. Maintenant, le patriarche Bartholomée estime que les quatre premières Églises qui ont refusé de participer au Concile de Crète n’ont pas pris leur décision librement, mais sous l’influence de l’Église russe.

  • Quelle est la position des Églises orthodoxes de différents pays sur l’autocéphalie ukrainienne, notamment dans les différentes églises ukrainiennes ?

Certaines attendent pour se prononcer, tandis que d’autres, notamment les Églises serbe, polonaise et antiochienne ont ouvertement déclaré qu’elles ne reconnaissaient pas la décision de légitimer les schismatiques et que l’octroi de l’autocéphalie ne pouvait être la prérogative de la seule Église constantinopolitaine. Quant aux Églises orthodoxes locales en général, pour l’instant, aucune n’a encore ouvertement déclaré son soutien aux entreprises de Constantinople.

  • Que pense-t-on de cette situation dans les autres églises chrétiennes, par exemple dans l’Église catholique ? Quelle est la position du pape François ?

Nous n’essayons pas, naturellement, d’impliquer le pape François dans cette situation, parce qu’il s’agit d’un conflit interne à la famille orthodoxe, et qui doit être réglé en famille. Néanmoins, le pape François ne reste, bien sûr, pas indifférent à ce qui se passe, il en est préoccupé et, lorsque je l’ai vu la dernière fois, il y a quelques semaines, il m’a dit franchement qu’il ne peut pas rester passif s’il arrive un malheur dans la famille orthodoxe, et qu’il allait prier pour que le conflit soit prochainement réglé.

  • Revenons à votre activité. En pleine époque soviétique, en 1981, à l’âge de 15 ans, vous avez compris, comme vous l’avez dit plus tard, que l’Église était la principale composante de votre vie. Comment en êtes-vous venu là ?

J’étais un adolescent soviétique ordinaire, bien que je doive reconnaître que maman m’a éduqué dans un esprit anti-soviétique. Je ne me suis jamais senti faisant partie du système soviétique, j’ai toujours eu l’impression d’y être un corps étranger. En même temps, j’ai toujours été patriote, mais ce patriotisme ne signifiait pas que j’étais solidaire de l’idéologie athéiste soviétique. Lorsque j’ai commencé à fréquenter l’église, j’avais environ onze ans, et le monde de l’Église m’a de plus en plus attiré. J’étudiais la musique, je devais devenir musicien professionnel, mais l’Église m’intéressait de plus en plus et la musique de moins en moins. Vers l’âge de 15 ans, il est devenu évident que si je voulais consacrer ma vie à quelque chose, ce serait à l’Église. J’ai pris cette décision à l’époque et je ne l’ai jamais remise en question. Tout le reste de ma vie est une application de cette décision.

  • Vous avez beaucoup travaillé avec les églises étrangères, notamment en tant que représentant de notre Église à l’étranger, à Bruxelles, à Vienne, etc. Vous disiez à l’époque que la négation des racines chrétiennes de l’Europe était inadmissible et que le christianisme restait une composante spirituelle et morale essentielle de l’identité européenne, vous critiquiez le laïcisme militant. Où en est-on en Europe à ce sujet ? Le christianisme est-il menacé de disparaître sous l’influence du sécularisme et de la tolérance « militante » ?

Je suis certain que le christianisme en Europe ne disparaîtra pas. Et je regrette beaucoup que la ligne politique de prétendue tolérance, qui n’est en fait rien d’autre que l’éviction de la religion de l’espace social, soit adoptée aujourd’hui par la plupart des états. Cela est déjà lourd de conséquences pour de nombreux états européens.

L’Église orthodoxe russe n’a rien contre la tolérance, contre la coexistence pacifique des chrétiens avec les représentants d’autres religions, mais lorsqu’on nous dit que pour que tous vivent en paix il faut retirer de la vie publique toute mention des normes religieuses, mettre la religion dans un ghetto, nous ne sommes pas d’accord, et nous estimons que c’est une erreur. Nous ne pouvons pas approuver l’imposition de normes contraires à compréhension chrétienne du monde, à la morale chrétienne, au mode de vie chrétien.

  • Vous avez toujours beaucoup écrit, notamment des livres de théologie dont on peut aussi dire qu’ils sont des livres d’histoire. Écrivez-vous actuellement ?

Je suis toujours en train d’écrire quelque chose. Ces dernières années, j’ai beaucoup écrit sur le Christ et sur le christianisme, ce sont des livres de théologie et d’histoire en même temps. J’ai écrit six livres sous le titre générique de « Jésus Christ. Sa vie, Sa doctrine », ensuite deux monographies, sur les apôtres Pierre et Paul, puis un commentaire de l’épître de saint Paul aux Romains. Mon dernier livre est consacré à la Divine liturgie, j’y étudie le texte de la liturgie d’un point de vue historique et théologique et en commente chaque mot. Il doit sortir dans quelques jours. Ce travail a beaucoup d’importance pour moi, parce qu’il me permet de me plonger en permanence dans l’histoire de l’Église, dans sa théologie. Par ailleurs, à la demande du Patriarche, je me consacre aussi à la science, je dirige l’Institut des Hautes Études, plusieurs conseils de soutenance. Pour être un bon spécialiste, il ne suffit pas de vivre de son bagage, il faut sans cesse augmenter ce bagage.

  • Y aura-t-il une suite à votre thèse « Saint Syméon le Nouveau Théologien et la Tradition orthodoxe » ? La Tradition, en effet, est inépuisable.

Tout ce que j’ai écrit est essentiellement la poursuite de ce thème, puisque la Tradition orthodoxe est inépuisable. Un thème en appelle un autre, et, m’étant une fois engagé sur la voie de l’étude de la Tradition orthodoxe, je continue à travailler jusqu’à aujourd’hui.

  • Que pensez-vous du livre d’Ernest Renan, « La vie de Jésus » ?

J’ai fait savoir ce que je pensais de ce livre et d’autres du même genre dans le premier tome de ma série « Jésus Christ. Sa vie, Sa doctrine ». Renan présente Jésus Christ comme un humaniste, qui n’a jamais fait de miracles, qui n’est pas ressuscité des morts. Renan a donc réécrit l’Évangile à sa manière,dans l’esprit des Lumières et de l’humanisme de son temps. Je ne suis pas d’accord avec cette approche, parce que j’estime que les quatre Évangiles sont une source fiable de renseignements sur la vie et sur la doctrine de Jésus Christ, que nous devons utiliser. On ne peut pas rayer de l’Évangile tous les témoignages sur les miracles de Jésus Christ, notamment sur le plus grand miracle de l’histoire évangélique, la Résurrection. A mon avis, l’histoire de Jésus sans ces dernières composantes perd son sens.

  • Votre emploi du temps est extrêmement chargé, vous reste-t-il du temps pour la musique, pour composer ? Jouez-vous du violon ?

Je n’ai pas joué de violon depuis l’âge de quatorze ans. Je n’ai actuellement pas le temps de composer, j’ai écrit ma dernière œuvre il y a six ans. J’ai surtout composé en 2006, 2007 et 2008, j’étais à Vienne à l’époque et je disposais de beaucoup plus de temps que maintenant.

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