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Le métropolite Hilarion : Le projet « d’autocéphal…

Le métropolite Hilarion : Le projet « d’autocéphalie » en Ukraine ressemble de plus en plus à un grand spectable pour maintenir l’attention des électeurs

Le 10 novembre 2018, le métropolite Hilarion de Volokolamsk, président du Département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou, a répondu aux questions de la présentatrice de télévision Ekaterina Gratcheva, dans une édition spéciale de l’émission « l’Eglise et le monde » (Tserkov’ i vremia).

E. Gratcheva : Bonjour ! Vous regardez l’émission « l’Eglise et le monde », nous nous entretenons avec le métropolite Hilarion de Volokolamsk, président du Département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou. Bonjour, Monseigneur.

Le métropolite Hilarion : Bonjour, Ekaterina ! Chers frères et soeurs, bonjour.

E. Gratcheva : Il y a quelques jours, on a appris que la Grèce ne verserait plus de salaire aux prêtres. Le budget d’état était, en effet, la source des revenus du clergé. Pourquoi cette décision ?

Le métropolite Hilarion : Cette décision a une longue préhistoire. En son temps, l’Église orthodoxe de Grèce avait été privée de ses biens immobiliers et fonciers, expropriés au profit de l’état ; en échange, l’état avait pris l’obligation de payer un salaire aux clercs. En Grèce, jusqu’à une date très récente, tous les clercs avait un statut de fonctionnaires municipaux, ils étaient payés par l’état.

L’Église orthodoxe de Grèce et l’état grec sont parvenus à un accord. Le chef de l’Église grecque, l’archevêque Jérôme, et le premier ministre, Alexis Tsipras, sont intervenus ensemble en public. Désormais, les prêtres n’auront plus le statut de fonctionnaires municipaux, ils ne recevront plus de salaire de l’état. Cependant, l’état versera une certaine somme à l’Archevêché d’Athènes, sur laquelle celle-ci payera ses prêtres. L’état ne se retire pas complètement, mais il ne payera plus directement les prêtres, ce sera l’Archevêché qui versera les salaires. Je précise que la volonté de l’état grec de mener à bien l’intégration de la Grèce dans l’Union européenne implique qu’il se confome aux normes anticléricales et antiecclésiales qui y sont dominantes. Au regard de ces normes, le soutien de l’état à l’Église semblait un non-sens. L’état grec d’aujourd’hui est athée, il est dirigé par un premier ministre qui ne fait pas mystère de ses convictions athées, et ils ont pris cette décision.

E. Gratcheva : Quelle sont les premières réactions, s’il y en a ? Les prêtres grecs étaient-ils prêts à ce changement ?

Le métropolite Hilarion : L’Église grecque comprend, naturellement, la situation, et l’archevêque a fait plusieurs déclarations à ce sujet. Des voix se sont fait entendre dans l’Église grecque pour dire que la séparation de l’Église et de l’état était une nécessité. Je ne pense pas que l’Église grecque protestera ou organisera des protestations populaires.

E. Gratcheva : Le 3 novembre, le président ukrainien, Petro Porochenko, et le patriarche œcuménique Bartholomée ont signé à Istanbul une convention historique (c’est Porochenko qui a prononcé le mot « historique ») de coopération et d’interaction entre l’Ukraine et le Patriarcat de Constantinople.

Le patriarche Bartholomée a déclaré : « Je suis certain que la décision de proclamer l’autocéphalie permettra de rétablir l’unité, de réunir tous les orthodoxes en Ukraine ». Qu’est-ce qui lui permet de penser que cette décision ramènera l’unité ?

Le métropolite Hilarion : Nous avons déjà dit dans cette émission que « l’autocéphalie de l’Église ukrainienne » était pour le président Porochenko le brin de paille salutaire auquel il tente de s’accrocher pour rester au pouvoir un second mandat. Alors qu’il n’a obtenu aucun succès ni sur le plan politique, ni sur le plan économique, alors que le pays s’enlise dans une profonde crise économique dans laquelle l’actuel président ukrainien a aussi ses responsabilités, il a besoin d’un succès bruyant pour relever au moins un peu sa popularité, qui est au plus bas. C’est pourquoi cette fameuse proclamation de l’autocéphalie de l’Église ukrainienne ressemble de plus en plus à un show de plusieurs mois, dont le but est de maintenir en éveil l’attention des électeurs.

La convention entre le patriarche Bartholomée et le président Porochenko, qui établit le cadre de leur collaboration, est un pas vers l’autocéphalie. Il est question dans ce document de la coopération entre l’état ukrainien et le Patriarcat de Constantinople pour créer une église autocéphale ukrainienne. Certains privilèges du Patriarcat de Constantinople y sont aussi fixés, notamment la création d’une stavropégie à Kiev, qui remplira des fonctions de contrôle et de coordination envers la nouvelle église autocéphale.

Le but est donc de créer cette église. Selon certaines rumeurs, il devrait y avoir le 21 ou le 22 novembre un concile de réunion ou un concile constituant, auquel prendraient part tous les soi-disant évêques schismatiques. Ils éliront le chef de « l’église autocéphale » créée sous l’égide de Constantinople. Ce ne sera pas Philarète Denissenko, une personnalité trop controversée. C’est à cette nouvelle structure que le patriarche de Constantinople remettra le « tomos » d’autocéphalie.

Philarète Denissenko, de son côté, tente par tous les moyens de conserver ses privilèges mal acquis. Il souhaiterait, notamment, porter le titre de « patriarche émérite de Kiev et de toute la Russie-Ukraine », ainsi que présider le synode de cette « église », qui serait, cependant, dirigée par un autre. Je ne sais pas à quel point cela est réalisable, mais il y a déjà beaucoup d’acrobaties dans toute cette histoire d’octroi d’une prétendue autocéphalie. Les schismatiques ukrainiens doivent, d’une part, s’intégrer dans la famille des Églises orthodoxes et, d’autre part, sauver la face.

E. Gratcheva : Petro Porochenko s’est donc servi de Philarète Denissenko ? Philarète Denissenko était-il prêt à être laissé pour compte dans cette histoire ?

Le métropolite Hilarion : Je ne pense pas. Mais Porochenko poursuit ses propres buts. Philarète Denissenko aura bientôt 90 ans, et je pense qu’on a décidé de le sacrifier, avant tout pour parvenir au but qu’on s’était fixé, créer une autocéphalie ukrainienne pour augmenter la popularité du président Porochenko.

E. Gratcheva : Le 6 novembre 1943, Kiev a été libérée des fascistes. Cette année, ni Petro Porochenko, ni le maire Klitchko, n’ont pas pris part aux cérémonies du souvenir. Cette tendance des autorités ukrainiennes à oublier des leçons de l’histoire comme celle-ci est-elle dangereuse ? Quelles pourraient en être les conséquences ?

Le métropolite Hilarion : Il existe, dans le monde civilisé d’aujourd’hui, un certain consensus sur le régime nazi. En Europe occidentale, il est impensable de justifier les actes des fascistes ou d’atténuer l’importance du courage de ceux qui se sont battus contre le fascisme. Aujourd’hui encore, dans des pays comme la Grande-Bretagne, la France, les États-Unis, on honore les dates importantes de la lutte de ces pays contre le fascisme allemand.

Ce que nous observons aujourd’hui en Ukraine est très loin de ce qui se passe en Europe occidentale, bien que l’Ukraine cherche à rejoindre l’Union européenne. Dans l’establishment politique ukrainien, les idées nazies sont de plus en plus populaires, et, par conséquent, la victoire contre le fascisme n’est plus considérée comme une victoire. L’histoire est retournée des pieds à la tête. Sur le fond de la propagande anti-russe qui se poursuit aujourd’hui en Ukraine, les anniversaires et les dates rappelant les victoires sur les nazis sont ignorées dans le pays.

E. Gratcheva : L’archevêque Job de Telmessos a déclaré que « l’annulation » du transfert de la métropole de Kiev au Patriarcat de Moscou signifiait pratiquement que l’Église orthodoxe ukrainienne du Patriarcat de Moscou n’existait déjà plus en Ukraine. Que cela veut dire, d’un point de vue pratique ? Il fallait s’y attendre, mais qu’est-ce que cela entraîne ?

Le métropolite Hilarion : Ces dernières années, le Patriarcat de Constantinople a élaboré la théorie complètement fantaisiste suivant : là où il existe, de son point de vue, une juridiction du Patriarcat de Constantinople, tous les évêques font automatiquement partie de cette juridiction, même s’ils ne le reconnaissent pas ou n’en ont pas conscience.

Il y a environ douze ans, en Grande-Bretagne, l’évêque Basile Osborne, du Patriarcat de Moscou, avait des difficultés pastorales. Il a décidé de chercher refuge au sein du Patriarcat de Constantinople. Selon l’usage, lorsqu’un évêque ou un clerc passe d’une Église à l’autre, il doit recevoir de son Église un document, sur la base duquel il est reçu dans l’autre Église. Dans le cas cité, aucun document n’a été signé, Constantinople s’est contenté de le recevoir. On nous a dit que, puisque toute la diaspora, y compris la Grande-Bretagne, la France, l’Allemagne, l’Amérique, l’Australie, l’Amérique du Sud, faisait partie de la juridiction du Patriarcat de Constantinople, selon lui, n’importe quel évêque de ces territoires est un fait un évêque de l’Église de Constantinople, même si c’est un hiérarque de l’Église russe ou serbe, simplement, il n’en a pas conscience.

Aujourd’hui, Constantinople a déclaré que l’Ukraine faisait partie de son territoire canonique, et qu’elle l’a toujours été, bien qu’on ne s’en soit pas souvenu pendant un peu plus de 300 ans. Cela veut dire, de leur point de vue, que le Patriarcat de Moscou n’existe pas en Ukraine, qu’il n’y existe que des évêques de l’Église constantinopolitaine qui en ont conscience, ou pas.

Selon le proverbe, si Dieu veut châtier quelqu’un, Il lui retire la raison. Les hiérarques du Patriarcat de Constantinople qui répandent des idées semblables pour justifier leurs actes de brigandage, tombent tout à fait sous le coup de ce proverbe, à mon avis.

E. Gratcheva : Après la rupture des relations avec Constantinople, le Patriarcat de Moscou a déclaré son intention d’assurer la pastorale des expatriés russes en Turquie, territoire canonique de Constantinople. Concrètement, qu’est-ce que cela veut dire ?

Le métropolite Hilarion : Après la rupture entre Moscou et Constantinople (nous ne cessons de le souligner, ce fut une mesure obligée, que les actes schismatiques de Constantinople nous ont forcée de prendre), nous avons commencé à recevoir de nombreuses lettres de Russes résidant en Turquie. En Turquie, le Patriarcat de Constantinople a, suivant les estimations les plus optimistes, environ deux mille fidèles, tandis qu’il y a actuellement des dizaines de milliers de russophones dans ce pays. Ce sont des Russes qui y ont leur résidence permanente, ou qui viennent y passer des vacances, des femmes russes qui ont épousé des citoyens turcs. Dans des villes comme Istanbul, Antalya, Alanya, Ankara, il y a un grand nombre de Russes, et ils nous demandent dans quelles églises ils doivent aller. Ils ne peuvent plus aller nulle part, puisqu’il n’y a que des églises du Patriarcat de Constantinople, en Turquie.

L’Église orthodoxe russe devra donc s’occuper de la pastorale de ses fidèles en Turquie. Auparavant, nous leur disions d’aller dans les paroisses de l’Église constantinopolitaine. Nous avions essayé d’organiser la pastorale des orthodoxes russophones avec le Patriarcat de Constantinople. Nous avions proposé d’envoyé des prêtres de l’Église russe, qui auraient rejoint leur juridiction, les auraient aidés à s’occuper de nos fidèles. Mais Constantinople a toujours refusé. Maintenant, en situation de rupture, nous n’aurons pas d’autre solution que d’envoyer des prêtres de l’Église orthodoxe russe prendre soin de la vie spirituelle de ces fidèles. Cette situation se poursuivra tant que le patriarche de Constantinople restera dans le schisme.

E. Gratcheva : Qu’est-ce que cela veut dire ? Il s’agit visiblement des sacrements, de la confession, de la communion. Dans quelles églises les prêtres envoyés par le Patriarcat de Moscou célébreront-ils les sacrements ?

Le métropolite Hilarion : Nous résoudrons le problème au cas par cas, comme cela se fait en Europe occidentale et dans d’autres pays. Auparavant, l’Église orthodoxe russe n’envoyait pas de prêtres là-bas, parce que nous disions que c’était le territoire du Patriarcat de Constantinople. A présent, nous ne pouvons plus nous en tenir à ce discours, puique le patriarche de Constantinople est en situation de schisme.

E. Gratcheva :La paroisse de la Nativité-du-Christ-Saint-Nicolas de Florence a annoncé son passage de la juridiction du Patriarcat de Constantinople à l’Église russe hors-frontières. Qui d’autre a quitté la juridiction de Constantinople ?

Le métropolite Hilarion : Je pense que c’est le début des pertes que subira Constantinople pour s’être engagé dans la voie du schisme. Certes, beaucoup de prêtres et de laïcs, ainsi que des communautés paroissiales entières de différents pays se posent aujourd’hui la question, à cause des violations grossières des canons ecclésiastiques commises par Constantinople. Il y a un prêtre, en Amérique, qui a célébré pendant trente ans, si je ne me trompe, dans la juridiction de Constantinople. Au moment de la rupture, il a annoncé qu’il ne pouvait plus continuer à y officier, et il s’est adressé à nous. Je pense qu’il y aura de nombreux cas semblables.

Dans la seconde partie de l’émission, le métropolite Hilarion a répondu aux questions posées par les téléspectateurs sur le site du programme « L’Église et le monde ».

Question : Depuis un an, j’ai l’impression que Dieu m’a abandonné. Que dois-je faire ? Le Christ a dit : « Demandez, et vous recevrez » (Mt 7,7). Pourquoi ne reçois-je pas de réponse à ma prière ?

Le métropolite Hilarion : La prière est toujours une œuvre commune à Dieu et à l’homme. C’est un dialogue. Il arrive que nous entrions en dialogue avec quelqu’un, mais que la conversation stagne. Il peut y avoir de multiples raisons à cela. Mais lorsqu’il s’agit de dialogue avec Dieu, la raison n’est pas en Dieu, elle est toujours en nous. On peut ne pas sentir la présence de Dieu ou ne pas entendre Sa réponse à nos prières si, par exemple, nous ne nous sommes pas repentis de nos péchés ou n’accomplissons pas de bonnes œuvres. On se conduit souvent égoïstement, sans remarquer les gens qui ont besoin d’aide : on ne les aide pas, mais on continue à prier. Et on a l’impression que Dieu n’entend pas les prières. Mais Dieu entend, simplement Il veut qu’on examine son cœur. Qu’on fasse attention à son entourage, qu’on apprenne à observer le commandement de Dieu sur l’amour du prochain.

Le Seigneur répond bien souvent à nos prières. Nous sentons cette réponse après avoir fait une bonne œuvre, ou pendant que nous la faisons. Autrement dit, l’expérience de la prière et l’expérience de la présence de Dieu dépendent toujours de notre rapport au prochain.

Un écrivain spirituel a dit que Dieu est toujours à nos côtés, mais que nous sommes souvent loin de Lui. Dieu est toujours au-dedans de nous, mais nous sommes souvent hors de Dieu. Dieu nous entend toujours, mais nous ne sommes pas toujours capables d’entendre sa réponse. Si nous prions et qu’il nous semble n’avoir pas été entendus, il faut prendre patience et prier, parce que tôt ou tard la réponse viendra. Si nous ne sentons pas la présence de Dieu dans notre vie, il faut, là encore, porter patiemment notre croix et observer les commandements divins, et tôt ou tard nous sentirons Sa présence.

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