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Le métropolite Hilarion : Les noms des terror…

Le métropolite Hilarion : Les noms des terroristes et des révolutionnaires ne doivent pas être immortalisés dans nos villes

Le 1er avril 2017, le métropolite Hilarion de Volokolamsk, président du Département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou, a répondu aux questions d’Ivan Semenov dans l’émission « l’Église et le monde » (Tserkov’ i mir), sur la chaîne de télévision « Rossia-24 ».

Iv. Semenov : Bonjour ! Vous regardez « l’Église et le monde ». Le métropolite Hilarion de Volokolamsk, président du Département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou, commente l’actualité en Russie et dans le monde. Bonjour, Monseigneur !

Le métropolite Hilarion : Bonjour, Ivan ! Chers téléspectateurs, bonjour.

Iv. Semenov : Pour le centenaire de la révolution, l’Église russe hors frontières a proposé de résoudre définitivement la question de la dépouille de Lénine. Les hiérarques de l’étranger proposent de l’inhumer, ainsi que de modifier tous les toponymes, dans les villes, les régions et les villages, qui rappelleraient la révolution, afin de ne pas perpétrer la mémoire des révolutionnaires. Il n’y a pas eu de réaction officielle de la part du Synode de l’Église orthodoxe russe. Qu’en pensez-vous ?

Le métropolite Hilarion : L’Église russe hors frontières fait partie intégrante de l’Église orthodoxe russe. Elle a son histoire, elle a son opinion sur notre histoire, qui ne se différencie d’ailleurs pas essentiellement de l’opinion des fidèles de l’Église orthodoxe russe.

Nous avons déjà donné notre avis sur les évènements révolutionnaires et sur les persécutions qui ont suivi, et ce à de nombreuses reprises. L’expression la plus éclatante de cette opinion est la canonisation des nouveaux martyrs et confesseurs de l’Église russe, qui a eu lieu en 2000. Nous sommes partis du fait qu’il y a eu des victimes et des bourreaux : nous avons canonisé les premiers en tant que martyrs et confesseurs, et des seconds nous affirmons qu’ils ont rempli différentes fonctions répressives.

On ne doit pas donner aux rues et aux places les noms des bourreaux. Les noms des terroristes et des révolutionnaires ne doivent pas être immortalisés dans nos villes. Leurs monuments ne doivent pas être érigés sur nos places. Les corps momifiés de ces gens ne doivent pas être exposés aux regards. C’est un principe général. Je pense que beaucoup, dans l’Église orthodoxe russe, sont d’accord avec cette position.

Quant au « quand » et au « comment », cela pose question, il faut tenir compte de beaucoup de nuances, parce que personne n’a intérêt aujourd’hui à rouvrir les vieilles plaies, à émouvoir la société, à provoquer une scission.

Je dirais que nous sommes en retard d’un quart de siècle, il aurait fallu prendre immédiatement des décisions à ce sujet. Il aurait fallu ôter le corps de Lénine du mausolée en même temps qu’on abattait le monument à Dzerjinski de la place qui portait son nom. Si on ne l’a pas fait à l’époque, il ne reste plus maintenant à attendre le moment où tout le monde sera d’accord sur le sujet.

Iv. Semenov : Les sondages montrent qu’au moins 60% de nos compatriotes sont d’accord avec cette proposition. Pourquoi les discussions se poursuivent-elles alors avec tant d’apprêté si la majorité n’y voit pas d’inconvénient ?

Le métropolite Hilarion : Il y a le Parti communiste. Il y a Guennadi Andreevitch Ziouganov, qui a déclaré que la résolution du Synode de l’ERHF était une provocation. J’ai beaucoup de respect pour Guennadi Andreevitch, qui regarde d’ailleurs régulièrement notre émission. Je me souviens d’une fois où il était assis à côté de Sa Sainteté le Patriarche Cyrille, alors métropolite de Smolensk et de Kaliningrad, dans l’émission « Nom : Russie », où il s’agissait de nommer le principal héros de l’histoire nationale. Le métropolite Cyrille défendait Alexandre Nevski, Guennadi Andreevitch en tenait pour Vladimir Ilitch Lénine. Le métropolite Cyrille lui avait dit : « Vous défendez les idées auxquelles vous croyez, mais vous n’avez pas choisi le bon héros pour les représenter ».

La question ne se pose pas pour nous. Cet homme doit être enterré, comme on enterre tous les gens. Le mausolée et sa momie sont un vestige du passé, auquel il faudrait renoncer.

Iv. Semenov : En Russie, ces derniers temps, on célèbre des funérailles religieuses sur tous les baptisés, indépendamment du fait qu’ils aient été ou non croyants et pratiquants. A votre avis, lors des funérailles de Vladimir Oulianov, pourra-t-on l’inhumer conformément aux rites et aux traditions orthodoxes ?

Le métropolite Hilarion : Je pense qu’on ne peut pas l’enterrer suivant les rites et les traditions orthodoxes, puisque c’était un renégat, un blasphémateur. Il s’est excommunié lui-même, et il doit être inhumé selon le rite qu’il mérite.

Iv. Semenov : Les gens sont néanmoins perplexes. Certes, les bolcheviks ont détruit un grand, un antique Empire, l’Empire russe, mais d’un autre côté, ils ont bâti l’Union soviétique, qui fut aussi un grand pays, et nos compatriotes sont fiers de beaucoup de réalisations de l’Union soviétique. C’est pourquoi le rapport à des personnages historiques comme Lénine est assez ambigu. Est-ce que cela doit changer ? Est-ce que cela changera un jour ?

Le métropolite Hilarion : Cette ambigüité s’exprime dans les monuments à ces personnages qui ornent toujours nos villes. Il est pourtant tout à fait évident que les principes séculaires propres à notre peuple ont été foulés aux pieds, que les sanctuaires ont été profanés. Les bolcheviks s’en sont pris à ce que les gens avaient de plus sacré : la religion, la foi, l’Église. Ils ont profané les églises. Ils ont créé une société d’athéistes militants, engagé des persécutions contre la religion et contre l’Église. Et pis que tout, ils ont orchestré des répressions de masse, des millions de gens ont péri. Il suffit d’aller au polygone de Boutovo pour comprendre la tragédie d’un peuple, voir à quel Golgotha ces gens ont mené notre peuple, sur quel Golgotha ils l’ont crucifié.

Iv. Semenov : Ainsi, il doit naître une nouvelle génération, qui envisagera les choses autrement. Les vieux communistes doivent appartenir au passé. Comment cela changera-t-il ?

Le métropolite Hilarion : Il y a longtemps qu’il n’y a plus de vieux communistes, vous savez. Ce sont de nouveaux communistes que nous rencontrons aujourd’hui. Les vieux communistes, c’était la génération de mes grands-mères et de mes grands-pères. Ma grand-mère était membre du Parti communiste depuis 1919, je crois. Elle recevait une pension personnelle du parti. Elle croyait aux idéaux du communisme.

Mais cette génération est déjà éteinte. Aujourd’hui, ce sont d’autres communistes, des pragmatiques qui, comme les représentants des autres partis politiques, occupent leur place sur l’échiquier, bâtissent leur idéologie et s’inscrivent dans un tableau global de pluralisme d’opinions, autrement dit, dans le tableau de ce qu’on appelle une société démocratique. Si nous voulons qu’il n’y ait pas de conflits au sein de cette société, que la concorde demeure, il faut peser chaque décision, afin de ne pas offenser un groupe social ou un parti politique. En même temps, nous n’allons pas nous forcer à taire notre opinion sur ce qui s’est passé ou à appeler blanc ce qui est noir.

Iv. Semenov : A Ekaterinbourg, des élèves des grandes classes se sont introduits dans l’église du Sauveur-sur-le-sang et ont dérobé des objets sacrés afin de prendre des photos, des selfies, comme disent les jeunes, sur les lieux où a été exécutée la famille impériale. Ils ne pensaient pas voler ces objets, ils voulaient juste se prendre en photo à cet endroit. Tout se passe comme si pour ces jeunes gens, nés au XXI siècle, ces évènements rappelaient une sorte de jeu électronique : ils n’ont pas de respect pour la mémoire de ces tragiques évènements. Que faut-il faire pour que les gens qui n’ont pas eux-mêmes vécu ces évènements, gardent la mémoire de cette époque tragique ?

Le métropolite Hilarion : Le centenaire des révolutions d’octobre et de février permet de parler de ces évènements, notamment d’exposant le sens aux jeunes et aux élèves. Je pense que l’appréciation de ces évènements doit faire partie du programme scolaire et du programme universitaire ; elle doit aussi occuper une place dans les médias. J’aimerais d’ailleurs que cette appréciation soit donnée de façon objective et que les étudiants et les écoliers connaissent avant tout le déroulement des faits. Certes, on peut interpréter les faits différemment, mais les taire, c’est commettre un crime au regard de l’histoire ; taire ou minimiser l’ampleur des répressions, c’est, à mon avis, offenser la mémoire des victimes.

Iv. Semenov : Lors de la réunion du Conseil de sécurité qui a eu lieu dans l’Oural, le secrétaire du Conseil de sécurité, Nicolaï Patrouchev, a annoncé que le nombre de toxicomanes avait augmenté de 60% en cinq ans parmi les mineurs. L’Église orthodoxe russe dispose d’un réseau de centres de réhabilitation pour les toxicomanes majeurs. Que fait l’Église, ou que peut-elle faire pour aider les jeunes et les adolescents à vaincre ce fléau ?

Le métropolite Hilarion : La drogue, ce n’est que le haut de l’iceberg, car il faut soigner non les conséquences, mais les causes. Quelqu’un dont la vie est bien remplie, qui comprend le sens de sa vie ne prendra pas de drogue, il trouvera d’autres moyens de satisfaire sa curiosité ou sa volupté.

Quelles sont généralement les victimes de ce type de dépendance ? Des gens facilement influençables, qui ne trouvent pas de sens à la vie, dont la vie n’a pas de contenu ; il n’y a rien qui les tiennent intérieurement, qui leur permette de sentir que leur vie a un sens. Peut-être ont-ils aussi beaucoup de temps libre et ne savent-ils pas à quoi l’occuper.

L’Église aide les jeunes à trouver la foi en Dieu, à trouver un sens à leur vie. C’est pourquoi, lorsque certains libéraux qui nous critiquent aujourd’hui demandent pourquoi l’Église va-t-elle dans les écoles, pourquoi l’Église veut-elle imposer sa façon de voir, nous répondons que nous ne voulons rien imposer. Nous voulons montrer aux gens, notamment aux jeunes et aux écoliers, que leur vie a un sens, qu’il ne se sert à rien de chercher une satisfaction dans des produits de substitution comme la drogue, dangereuse pour la santé et pour le psychisme. Il faut, au contraire, sans chercher à fuir dans un monde virtuel, trouver un sens à son existence dans la vie réelle.

Iv. Semenov : Monseigneur, le métropolite Antoine de Souroge, que vous avez bien connu, disait dans un de ses sermons sur ce thème, que l’homme cherche la joie dans le monde qui l’entoure, sans la trouver. C’est pourquoi il se tourne vers des succédanés de cette joie, qui permettent de s’évader de la réalité à la recherche d’une certaine joie, comme celle, aussi maladive et contre-nature soit-elle, que procure la drogue. Comment un croyant orthodoxe peut-il expliquer à un jeune, à un adolescent, où chercher la vraie joie ?

Le métropolite Hilarion : Il faut commencer par comprendre ce qu’est la joie ? S’agit-il d’une distraction momentanée, comme s’enivrer de façon à se sentir bien d’abord, puis très mal pendant longtemps, ou bien se droguer pour ressentir un instant d’euphorie qu’on paye ensuite pendant plusieurs jours ?

Ou bien la joie est-elle plutôt ce qui vit profondément au cœur de l’homme et illumine toute sa vie ? C’est cette joie-là qu’apporte la religion.

Le christianisme a toujours été une religion de la joie. L’apôtre Paul écrivait au I siècle : « Restez toujours joyeux. Priez sans cesse. En toute condition soyez dans l’action de grâces » (I Thes 5, 16-18). Beaucoup pensent aujourd’hui que le christianisme est une sorte de système d’interdits : ne pas manger de viande et de poisson pendant le carême, ne pas désirer une femme, ne se marier qu’une fois, etc. On ne voit plus dans la religion qu’un système d’interdits. Mais l’essentiel dans la religion, c’est pourtant de vivre en harmonie avec Dieu, avec soi-même et avec ceux qui nous entourent. La religion aide tout homme à atteindre cette harmonie, les adultes comme les enfants, les hommes comme les femmes. Je pense que tous les problèmes subséquents en sont résolus.

Iv. Semenov : Comment le démontrer à un adolescent qui n’en a aucune idée ?

Le métropolite Hilarion : Comme disait le Seigneur : « Viens et vois » (Jn 1, 46). Il faut venir à l’église pour le voir, il faut entrer dans la communauté ecclésiale, en devenir membre, observer comment en vivent les membres.

On peut conseiller aux jeunes de faire connaissance avec d’autres jeunes qui sont pratiquants. Ils leur expliqueront pourquoi ils vont à l’Église, ce que l’Église leur apporte. Je pense que c’est ainsi que commence la guérison spirituelle de beaucoup. L’Église a une grande expérience de travail avec les toxicomanes, et pas seulement avec les adultes, mais avec les adolescents, et nous savons qu’en s’intégrant à l’Église, les toxicomanes se transforment peu à peu, parfois même tout de suite. Ils deviennent différents. Ils renoncent à leurs mauvaises habitudes, non pas parce qu’on leur a cousu une ampoule sous la peau, ou qu’on leur a imposé une idée, ni parce qu’ils s’y sont forcés, mais parce que ce qu’ils aimaient avant a perdu son intérêt et n’inspire même plus que le dégoût.

 

Dans la seconde partie de l’émission, le métropolite Hilarion a répondu aux questions posées par les téléspectateurs sur le site de l’émission.

Question : Peut-on éviter de parler aux gens qui nous sont désagréables si cette attitude les vexe ?

Le métropolite Hilarion : On ne peut pas éviter complètement de s’entretenir avec les gens qui nous sont désagréables, c’est impossible et cela n’arrive presque jamais. Parmi ceux qui nous entourent ou que nous rencontrons, il y a des gens qui nous sont sympathiques, d’autres qui nous sont moins agréables et d’autres qui nous paraissent carrément antipathiques. Mais il faut apprendre à parler à tous. Il ne faut vexer personne : ni ceux qui nous sont sympathiques, ni ceux qui nous sont antipathiques. Échanger, c’est un grand art.

Question : Quel est l’avis de l’Église sur le sport ? Un orthodoxe peut-il faire du sport ? Quels sont les sports qu’il peut pratiquer et ceux qu’il lui vaudrait mieux éviter ? Quelle prière dire avant de faire du sport ?

Le métropolite Hilarion : On entend parfois dire que l’Église interdit la pratique du sport ou ne la bénit pas, mais c’est une erreur. Ce n’est pas du tout le cas. Nous voyons le Patriarche rencontrer des sportifs. Des offices d’intercession sont célébrés avant les compétitions sportives. Tout cela montre bien que l’Église est généralement bien disposée envers le sport.

Mais le sport ne doit naturellement pas être un but en soi. Si le but des activités sportives est de se maintenir en bonne santé, c’est bien. Si, au contraire, comme cela se rencontre parfois dans le sport professionnel, il s’agit de faire violence à l’organisme, si, pour atteindre un record, le sportif épuise ses dernières forces et son organisme en même temps, raccourcissant sa durée de vie par voie de conséquence, l’Église ne peut pas être d’accord. Par ailleurs, il y a des sports violents, comme certaines formes de lutte, par exemple, qui entraînent des blessures, voire des mutilations. Je pense que l’Église ne peut pas approuver ce genre de jeux sportifs.

Il y a aussi des sports intellectuels, comme les échecs. Il ne peut donc pas y avoir de réponse générale. Chaque chrétien orthodoxe doit s’efforcer de maintenir un équilibre. Regardez le Christ et les apôtres. Ils ne faisaient pas de sport, mais ils marchaient beaucoup, allant de ville en ville et de village en village, parcourant des kilomètres. Voilà un excellent exemple de mode de vie sportif et sain.

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