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Le métropolite Hilarion : Les élèves doivent conna…

Le métropolite Hilarion : Les élèves doivent connaître la Bible, la Torah et le Coran au moins comme de grands monuments de la littérature

Le 29 juin 2019, dans le cadre de l’émission « l’Église et le monde », diffusée sur la chaîne « Rossia-24 » le samedi et le dimanche, le métropolite Hilarion de Volokolamsk, président du Département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou, a répondu aux questions de la présentatrice Ekaterina Gratcheva.

Gratcheva: Bonjour ! Ici l’émission « L’Église et le monde », nous accueillons le métropolite Hilarion de Volokolamsk, président du Département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou. Bonjour Monseigneur.

Le métropolite Hilarion : Bonjour, Ekaterina ! Chers frères et sœurs, bonjour.

Gratcheva: Monseigneur, je souhaite revenir sur la controverse autour de la construction d’une église à Ekaterinbourg. Les choses évoluent, et nous suivons les évènements. Le diocèse d’Ekaterinbourg, à la suite de longs débats, a renoncé à bâtir cette église dans le square prévu. Je cite la déclaration du métropolite Cyrille d’Ekaterinbourg et de Verkhotourié : « Dans cette atmosphère de mensonge et de fraude généralisés, même un terrain ouvertement et honnêtement choisi par la majorité des citoyens serait malgré tout cause de discorde... Nous ne voudrions pas donner au diable ce prétexte. » Dois-je comprendre que le diocèse a renoncé à construire une église destinée à la majorité afin de plaire à la minorité ? c’est l’impression que cela donne.

Le métropolite Hilarion : Il n’y a pas le choix. Le projet en question a une longue préhistoire. Comme on sait, la cathédrale Sainte-Catherine d’origine a été détruite, il ne reste sur son site qu’une petite chapelle. Il n’était pas possible de la rebâtir à l’emplacement originel, car cela aurait perturbé beaucoup de gens. Il aurait fallu « caser » l’église dans un quartier déjà très densément construit.

Ensuite, on a pensé créer une île artificielle sur un étang, pour y construire la cathédrale, mais l’Église y a renoncé, d’abord parce qu’il n’y a déjà pas beaucoup de sites aquatiques à Ekaterinbourg, ensuite parce qu’une église sur une île aurait semblé un peu étrange.

On a donc choisi un troisième site, un square situé près de l’étang. Il y a eu des audiences publiques, et même un procès de gagné. L’Église est passée par toutes ces étapes, puis des manifestations ont été organisées, il y a eu des provocations, planifiées, bien entendu. Ce sont principalement des gens qui n’appartiennent ni à l’Église orthodoxe, ni à une quelconque tradition religieuse qui y ont participé, dont beaucoup de mineurs.

Quoiqu’il en soit, ce site est devenu une pomme de discorde. Pour éviter que les passions ne s’exacerbent, pour ne pas permettre à des gens mal intentionnés d’utiliser ce site comme prétexte à des actions non concertées ou à des manifestations qui auraient pu dégénérer, l’Église d’Ekaterinbourg a pris la décision de renoncer à bâtir cette église sur ce terrain.

On choisira donc un autre site, les citoyens seront interrogés. J’espère que cette histoire en restera là.

Gratcheva: Monseigneur, on a demandé au président Vladimir Poutine quelle littérature conseillerait-il aux jeunes de lire ; il a répondu qu’il fallait lire la Bible, la Torah et le Coran. Il a précisé que « le monde serait meilleur » si les gens suivaient ce qui est écrit dans ces livres. L’opposition athée s’est indignée, car personne ne s’attendait à une réponse pareille de la part d’un leader laïc. Ont-ils raison de s’indigner ?

Le métropolite Hilarion : Je ne vois pas de raison de s’indigner. Les temps sont révolus où les multiples volumes des œuvres complètes de Marx, Engels, Lénine et, à une certaine époque, de Staline, ornaient obligatoirement les étagères de toutes les institutions gouvernementales. L’inconsistance de ces théories politiques et de l’idéologie matérialiste qui en découlait a été prouvée de façon convaincante, les répressions qui ont frappé le pays, notamment les répressions contre les croyants, ont démontré qu’elles étaient nocives. J’espère que cette page terrible de notre histoire est bel et bien tournée.

Pourquoi le président dit-il que les jeunes doivent lire des textes religieux ? Parce que ces textes, indépendamment de la confession religieuse de chacun, ont une forte charge morale. Or, c’est cet élément moral qui fait défaut à nos écoliers et à nos jeunes.

Malheureusement, les onze années du cursus scolaire ne prévoient pas l’étude de la Bible, ni celle de la Torah ou du Coran. J’estime que c’est une sérieuse lacune, parce qu’on peut tout aussi bien au moins envisager ces écrits comme des œuvres littéraires. Si les écoliers étudient « Le dit de l’ost d’Igor » et la « Légende de Gilgamesh », pourquoi ne pas introduire l’étude de la Bible, de la Torah ou du Coran au cours de littérature ?

Gratcheva: Vous avez justement fait remarquer, Monseigneur, qu’à l’époque soviétique, tout communiste qui se respectait considérait comme un devoir d’avoir chez lui l’Encyclopédie soviétique ou les œuvres complètes de Marx et d’Engels. Aujourd’hui, chez les fonctionnaires, il est de bon ton d’avoir dans son bureau des icônes, surtout des icônes de valeur, parfois anciennes, voire des icônes provenant d’une église, ainsi que des éditions dorées sur tranche de la Bible. Des déclarations comme celles du président ne risquent-elles pas de provoquer une nouvelle mode, où les textes sacrés deviendraient un cadeau luxueux ? Qui resterait sur les étagères de la bibliothèque, sans jamais être ouvert ?

Le métropolite Hilarion : Je ne vois rien de répréhensible à ce que les fonctionnaires s’offrent des Bibles entre eux ou les offrent à leurs visiteurs. Je ne vois rien ne mal à ce que la Bible et d’autres textes religieux figurent sur les étagères.

Certes, les livres ne sont pas faits pour décorer, mais pour être lus. Je suis souvent confronté à cette situation... Des gens viennent faire baptiser leur enfant, et je leur pose une question qui me paraît élémentaire : « Avez-vous lu l’Évangile ? ». On me répond souvent : « Non ». Ou encore : « Je l’ai lu quand j’étais encore à l’école. » Je demande alors : « Vous souvenez-vous de quelque chose ? » Et la réponse est : « Non, je ne me souviens de rien ». Je demande encore, s’ils ont un Évangile chez eux, et ils répondent : « Oui, bien sûr, dans la bibliothèque. »

Je pense que l’Évangile doit être avant tout, pour le chrétien, un livre de lecture courante. Comme la Bible dans son ensemble. On ne peut pas lire la Bible de façon suivie, page après page, il faut se laisser guider, suivre un certain ordre, suivant lequel les livres bibliques se découvriront peu à peu au lecteur.

L’Évangile n’est pas fait pour rester sur les étagères, il doit être lu, c’est important. Il vaut mieux le laisser sur sa table de chevet : en se couchant, on peut ouvrir l’Évangile, lire quelques pages, ou au moins quelques lignes. Dans l’Église, l’Évangile est lu quotidiennement et divisé en 366 péricopes, correspondant au nombre de jours dans l’année. A chaque jour sa péricope d’Évangile, ainsi qu’un passage des écrits des apôtres, et nous recommandons aux paroissiens de lire chaque jour ces passages.

Je pense que cette lecture permettrait non seulement de mieux connaître sa tradition religieuse, mais aussi de devenir soi-même meilleur, de travailler sur soi, de faire un effort moral, spirituel. C’est pour cela que ces livres sacrés ont été composés.

Gratcheva : Récemment, un organisme a effectué un sondage auprès des paroissiens d’Europe occidentale, ou plus exactement auprès de ceux qui font des dons à l’Église. Ce sondage a montré que la majorité des citoyens des pays d’Europe de l’Ouest soutiennent la séparation de l’Église et de l’état. Que signifient ces données ?

Le métropolite Hilarion : Que le modèle laïc de coexistence de l’Église et de l’état est absolument prioritaire dans ces pays, et qu’il est presque universellement admis. Cela ne veut pas dire que ce modèle est observé partout. En Grande-Bretagne, l’Église anglicane a le statut d’église d’état : les évêques sont nommés avec la participation de la reine et du premier-ministre, les évêques occupant des sièges particulièrement importants ont le droit de siéger au parlement, et les principaux d’entre eux, comme l’archevêque de Canterbury ou l’évêque de Londres, deviennent membres à vie de la chambre des lords au moment où ils partent en retraite.

En dehors de la Grande-Bretagne, où le lien entre l’état et l’Église anglicane est particulièrement étroit, il y a d’autres pays où les églises ont un statut officiel. En Finlande, par exemple, il y a deux Églises d’état : l’église évangélique luthérienne de Finlande, et l’Église orthodoxe finlandaise.

En Russie, l’état ne reconnaît officiellement aucune Église, toutes les confessions sont égales entre elles. Ce modèle convient, me semble-t-il, à toutes les confessions religieuses traditionnelles. Il peut ne pas convenir à certaines sectes qui se considèrent comme restreintes dans leurs droits, mais les confessions traditionnelles s’en trouvent bien. Lorsque les journalistes occidentaux répètent une fois de plus qu’il existe une certaine fusion entre l’Église et l’état en Russie, ces déclarations n’ont rien à voir avec la réalité.

En Russie, les rapports entre les confessions religieuses et l’état sont bâties sur deux principes. Le premier est la non-ingérence mutuelle dans les affaires les uns des autres. Le second est la coopération dans les domaines où cette collaboration est possible pour les deux. J’estime que si ces deux principes sont respectés, le modèle russe des rapports entre l’Église et l’état continuera à arranger tout le monde.

Gratcheva: On a appris récemment que le pape de Rome avait approuvé des modifications au texte du « Notre Père ». Qu’est-ce qui ne lui convenait pas dans le texte de cette prière que presque tout le monde connaît par cœur (en tous cas tous les croyants) ? Est-ce un précédent ? Est-il arrivé dans l’histoire qu’on change des textes comme celui-ci ?

Le métropolite Hilarion : Pour autant que je sache, il s’agit de modifications apportées à la traduction italienne de cette prière. Il existe de très nombreuses traductions du « Notre Père », et elles sont toutes différentes. J’ai exercé en Angleterre, et je me souviens bien que lorsque des orthodoxes se réunissaient pour un repas, ils n’arrivaient pas à dire ensemble le « Notre Père », parce que chacun le disait dans sa traduction.

La dernière phrase du « Notre Père » est traduite en slavon de la façon suivante : « Ne nous soumets pas à la tentation, mais délivre-nous du malin ». Ce sont les mots « ne nous soumets pas à la tentation » qui ont suscité la polémique et ont conduit à une modification de la traduction italienne. Certains ont dit : comment Dieu peut-il soumettre à la tentation ? Et on a produit des textes de saint Jacques, où il est dit que Dieu ne tente personne, mais que c’est l’homme qui se laisse tenter à cause de son inclination au mal.

Il a longtemps que ce passage pose question. Je rappelle que Jésus Christ prononça le  « Notre Père » en araméen. Et personne ne connaît l’original. Toutes les paroles du Christ, à l’exception de quelques rares phrases, nous sont parvenues en traduction grecque, c’est le texte grec qui est l’original d’après lequel ont été effectuées les autres traductions. Dans le texte grec, il est bien écrit : « Ne nous soumets pas à la tentation ». Pour l’interpréter, on peut se référer au célèbre livre de Job, dans la Bible. On y lit que les fils de Dieu (il s’agit des anges) se présentent devant Lui, Satan parmi eux. Dieu lui demande : as-tu vu Mon serviteur Job, comme il est juste, fidèle ? Satan répond à Dieu : il Te suffit de toucher à ses biens, à sa famille, et Tu verras alors ce qui reste de sa fidélité. Dieu permet à Satan d’agir. Job perd sa famille et ses biens, puis sa santé. Dieu l’éprouve. Lorsque nous disons à Dieu : « Ne nous soumets pas à la tentation », nous prions Dieu de ne pas nous envoyer des épreuves trop dures, qui dépasseraient nos forces.

C’est de cela qu’il est question dans cette prière. Il n’y a absolument pas besoin d’en changer la formulation. Je ne pense pas que l’Église orthodoxe changera jamais la traduction slavonne ou russe de cette prière.

Gratcheva: Y a-t-il déjà eu des précédents, d’autres modifications de ces textes connus de tous ?

Le métropolite Hilarion : Il y a eu des précédents, y compris dans l’Église orthodoxe. Par exemple, dans le monde orthodoxe anglophone, il existe deux versions différentes de la fin du « Notre Père », « mais délivre-nous du malin ». L’original grec permet deux traductions : « délivre-nous du malin », c’est-à-dire du diable, ou bien « délivre-nous du mal ». Dans un cas, il s’agit du diable comme personnalisation du mal, dans l’autre, du mal en général. Le texte grec admet les deux interprétations. En anglais, il existe deux traductions, les deux sont employées dans l’Église orthodoxe. En russe, il n’y a qu’une seule traduction, choisie dès l’origine par les traducteurs slavons, qui ont vu dans ce texte une allusion au diable. Ce qui est intéressant, c’est que dans le « Notre Père », on commence en s’adressant à Dieu, et on termine en Lui demander d’être délivrés du diable.

Gratcheva: Monseigneur, j’aimerais vous demander de commenter une nouvelle récente, qui nous arrive de Lettonie. Un amendement à la législation sur l’Église orthodoxe lettone y a été adopté en urgence. Selon cet amendement, son chef, le métropolite, ainsi que les évêques et les candidats à l’épiscopat doivent être prêtres et citoyens du pays. Premièrement, pourquoi ces amendements ont-ils été adoptés en urgence ? Deuxièmement, pourquoi veut-on purifier l’Église suivant des principes nationalistes, ethniques ?

Le métropolite Hilarion : Essayons de nous représenter ce qui se passerait si, en Russie, le parlement décidait que le chef de l’Église orthodoxe russe devrait être citoyen de la Fédération de Russie. D’une part, cela ferait du bruit dans les médias. D’autre part, cette décision serait considérée, fort justement, comme une ingérence de l’état dans les affaires internes de l’Église. De quel droit l’état peut-il dicter à l’Église qui doit être son chef ?

Mais quand cela se produit en Lettonie, tout le monde se tait. Les médias ne réagissent pas. Pourtant, il s’agit d’une intervention brutale dans ce qui est entièrement du ressort de l’Église. L’Église doit être libre d’élire son chef, d’élire n’importe quelle personne.

A l’époque soviétique, les Statuts de l’Église contenait un article stipulant que le patriarche de Moscou devait être citoyen de l’URSS. Mais il avait été introduit sous la pression du régime athée. Aujourd’hui, cet article a disparu des Statuts. Imaginez ce que cela voudrait dire pour l’Église orthodoxe russe, qui a des millions de fidèles, s’il était dit que seul un citoyen de la Fédération de Russie peut être son chef... Qu’en penseraient les fidèles ukrainiens, biélorusses, moldaves ? Un citoyen de n’importe quel pays peut devenir patriarche.

Je ne pense pas que l’état puisse intervenir dans le fonctionnement interne de l’Église et dicter qui a le droit ou n’a pas le droit de devenir chef de l’Église, évêque, recteur de paroisse. Pour la majorité des pays occidentaux, c’est parfaitement impensable. Mais pour la Lettonie, c’est une réalité.

Gratcheva: Merci, Monseigneur.

Le métropolite Hilarion : Merci, Catherine.

Dans la seconde partie de l’émission, le métropolite Hilarion a répondu aux questions posées par les téléspectateurs sur le site du programme « L’Église et le monde ».

Question : L’apôtre Paul écrit que pour ceux qui croient en Christ, il n’y a pas de différence entre le sexe masculin et le sexe féminin. Alors pourquoi la situation des hommes et des femmes est-elle différente dans le christianisme ?

Le métropolite Hilarion : Dans l’Église chrétienne, il n’existe pas d’inégalité entre les hommes et les femmes. Lorsque les hommes et les femmes viennent à l’église, ils se tiennent tous devant Dieu, ils prient, ils communient.

Il n’existe pas de discrimination de la femme dans l’Église. Mais il y a des ministères qui sont réservés aux hommes, non pas que les hommes soient meilleurs, , non parce que les hommes seraient plus forts et les femmes plus faibles, mais parce que c’est ainsi que l’a institué le Seigneur Jésus Christ Lui-même, et nous ne pouvons changer ce que le Seigneur a institué. Le Christ a choisi douze apôtres. Tous les douze étaient des hommes et ils ont transmis leur ministère apostolique à leurs successeurs. Il s’est transmis directement aux évêques d’aujourd’hui, et les évêques le transmettent aux prêtres.

Ni dans l’Église orthodoxe, ni dans l’Église catholique, le sacerdoce féminin n’a jamais existé, parce que le ministère sacerdotal est considéré comme un ministère de paternité. En même temps, il existe, dans l’Église orthodoxe, de très hautes responsabilités qui sont confiées à des femmes. Une femme peut être higoumène d’un monastère féminin. Un homme ne peut être à la tête d’un monastère de femmes. Or, l’higoumène a un très grand pouvoir et une très haute position dans son monastère. Les prêtres (hommes) qui célèbrent dans ce monastère lui obéissent. On pourrait citer d’autres exemples de ministères féminins.

La différence entre les hommes et les femmes dans l’Église ne tient pas au statut, mais à la fonction. Comme dans la famille : il y a la paternité, et il y a la maternité. On ne peut pas dire que le père et la mère ne sont pas égaux, mais on dit qu’ils remplissent des ministères différents, qu’ils ont une vocation différente.

J’aimerais terminer cette émission en citant l’apôtre Paul : « Il y a, certes, diversité de dons spirituels, mais c'est le même Esprit ; diversité de ministères, mais c'est le même Seigneur ; diversité d'opérations, mais c'est le même Dieu qui opère tout en tous. »

Que le Seigneur vous garde tous !

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