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Le métropolite Hilarion : L’homme n’est pas une ma…

Le métropolite Hilarion : L’homme n’est pas une marionnette dans la main de Dieu

Le 10 mars 2018, le métropolite Hilarion de Volokolamsk a répondu aux questions de la présentatrice de télévision Ekaterina Gratcheva dans l’émission « l’Église et le monde » (« Tserkov i mir »), diffusée les samedis et les dimanches sur la chaîne « Rossia-24 ».
E. Gratcheva : Bonjour ! Vous regardez l’émission « L’Église et le monde », nous nous entretenons avec le métropolite Hilarion de Volokolamsk, président du Département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou. Bonjour, Monseigneur.
Le métropolite Hilarion : Bonjour, Ekaterina ! Bonjour, chers frères et sœurs !
E. Gratcheva : Monseigneur, vous avez assisté au discours du président Vladimir Poutine à l’Assemblée fédérale. Ce n’est pas le premier discours du chef de l’état que vous entendez. Quelles sont vos impressions ? Quelles thèses vous ont particulièrement marqué ? Que pensez-vous de la seconde partie de cette allocution, sur la puissance militaire de notre pays, sur l’armement ?
Le métropolite Hilarion : Les médias se sont surtout concentrés sur cette deuxième partie du discours, qui était plutôt adressée à la communauté internationale et, avant tout, aux États-Unis d’Amérique. Le président a dit clairement qui portait la responsabilité de la nouvelle course à l’armement.
Mais, en tant que représentant de l’Église, j’aimerais plutôt attirer l’attention sur la première partie du discours du président, adressée aux citoyens de notre pays et qui concernait les aides sociales. En d’autres termes, le président a défini, devant le pays et devant le futur gouvernement, des objectifs très précis et ambitieux.
L’un de ces objectifs est que la croissance économique de la Russie dépasse le rythme de croissance économique dans le monde en 2020. C’est, effectivement, un objectif difficile à atteindre, qui exige non seulement la mobilisation des ressources financières, mais aussi celle du capital humain, dont le président a beaucoup parlé dans son allocution. Cela concerne la démographie, le soutien des familles, le soutien du commerce. Le président a beaucoup dit que les entrepreneurs devaient pouvoir développer leur entreprise. Le président a aussi parlé des retraités. En d’autres termes, la première partie du discours, à mon avis, doit ouvrir une nouvelle page dans l’histoire de l’état, si ce dont le président a parlé est bien mis en application.
E. Gratcheva : A votre avis, à l’heure actuelle, en politique intérieure, la balance ne penche-t-elle pas trop dans le sens d’un renforcement de notre potentiel militaire, de notre armement ? Êtes-vous satisfait de la façon dont les priorités sont définies ?
Le métropolite Hilarion : Je crois qu’il est très important que la stratégie économique et financière de l’état soit équilibrée, pour qui n’y ait pas d’excès dans un domaine ou dans un autre. Il faut absolument que l’état et le nouveau gouvernement qui sera installé après les élections présidentielles, travaillent pour les gens, que l’état réponde avant tout aux besoins des gens, tiennent compte de ces besoins dans leur stratégie, dans leur tactique et dans leur politique.
E. Gratcheva : Il n’y aurait pas de victoires pacifiques sans armement. Lorsque les peuples frères manquaient de puissance militaire, la Russie venait à leur secours, les aidant de son armée. C’est ce qui s’est passé, notamment, au XIX siècle, lorsque la Russie a aidé la Bulgarie à se libérer du joug turc.
Le patriarche Cyrille s’est récemment rendu en Bulgarie. Il a été déçu de constater que la Bulgarie divise désormais en nationalités les peuples qui ont participé à la libération du pays, le patriarche en a parlé lors de sa rencontre avec le président Roumen Radev. Combien de pays, selon le patriarche, selon l’Église orthodoxe russe, ont tendance aujourd’hui à réécrire l’histoire ?
Le métropolite Hilarion : Cela concerne plus ou moins tous les pays de ce qu’on appelle l’espace post-soviétique et tous les pays de l’ancien bloc de Varsovie qui ont presque tous intégré l’OTAN. Comment réécrit-on l’histoire ?
Si l’on prend l’exemple de la Bulgarie, il y a encore quelques années, lors d’un précédent anniversaire de la libération de ce pays, la Russie n’avait même pas été nommée. Alors qu’en fait, c’est la Russie qui a déclaré la guerre à la Turquie, c’est la Russie qui a délivré la Bulgarie. Quel monument se dresse au centre de Sofia ? Un monument à Alexandre II, le tsar libérateur, le tsar russe. De qui fait-on mémoire à chaque liturgie lors de la grande entrée ? D’Alexandre II, le tsar libérateur.
L’armée russe se composait de représentants de différentes nationalités. La Roumanie a aussi contribué à la libération de la Bulgarie. Mais c’est vraiment l’armée russe qui a assuré la victoire. Lorsque des quantités de gens rassemblés ont agité des drapeaux bulgares et russes pour accueillir les patriarches de Bulgarie et de Moscou, l’émotion a été très positive. Mais le soir du même jour, à Sofia, devant le monument à Alexandre II le Libérateur, il y a eu quelque chose rappelant une parade militaire, et la rhétorique a été toute différente. On a mentionné différents peuples, différents états, ce qui a suscité de façon tout à fait justifiée la critique du patriarche qui y a vu une tendance propre à l’Union européenne d’aujourd’hui. Cette tendance consiste à taire le rôle de la Russie dans les évènements-clés de l’histoire européenne, comme, par exemple, la libération de la Bulgarie.
E. Gratcheva : Il y a là en même temps une certaine contradiction idéologique, parce que tout en refusant de reconnaître que nous avons une histoire commune, ce sont précisément les pays d’Europe de l’Est qui considèrent que la Russie fait partie du système politique commun désigné du nom « d’Europe ». Suivant un dernier sondage, effectué en février, la moitié des Français et des Britanniques (65 et 52%) déclarent que la Russie n’est pas un pays européen. En Allemagne, seuls 46% des répondants sont d’accord avec cette affirmation. En Pologne, 77% des sondés estiment que la Russie fait partie de l’Europe. Plus on va vers l’est, plus le pourcentage augmente. Comment expliquez-vous cette contradiction idéologique ?
Le métropolite Hilarion : Aujourd’hui, la notion d’Europe est souvent appliquée uniquement à l’Union européenne. La Russie ne fait pas partie de l’Union européenne et, d’après la façon dont les évènements se développent, ne prévoit pas d’en faire partie.
Mais l’Europe, ce n’est pas seulement l’Union européenne. L’Europe est, avant tout, une identité culturelle et spirituelle. Et on ne peut pas se représenter, par exemple, l’art européen sans les romans de Dostoïevski et de Tolstoï, sans la musique de Tchaïkovski ou de Rachmaninov, sans cette immense contribution au développement de la culture européenne, et non de la culture asiatique, que la Russie a apportée. Ceux qui connaissent cette culture comprennent que la Russie fait partie de l’espace culturel que nous appelons Europe.
E. Gratcheva : Ces derniers temps, l’Occident a de plus en plus souvent tendance à taire non seulement les succès militaires de notre pays, mais aussi ses victoires sportives. Pourtant, les Jeux olympiques de Pyongyang resteront longtemps dans les mémoires des supporters du monde entier. Pour notre pays, c’est d’abord le triomphe en patinage artistique, puis la médaille d’or en hockey sur glace. Le patriarche Cyrille a même commenté cette victoire et l’a qualifiée de miracle dans le bon sens du terme.
Il reste moins de cent jours avant le championnat du monde de football. Il n’y a pas à dire, nous ne sommes pas aussi forts en football qu’en hockey sur glace. Beaucoup de supporters ironisent en disant qu’on ne pourra gagner le championnat qu’avec l’aide de Dieu. Avant des manifestations aussi importantes pour le pays que les Jeux olympiques ou le championnat du monde de football, le patriarche célèbre-t-il des offices d’intercession spéciaux ?
Le métropolite Hilarion : Nos équipes sportives sont souvent accompagnées d’un prêtre. Les prêtres restent auprès des sportifs pendant l’entraînement et pendant le match, ils sont là quand ils reviennent de compétition.
Ce n’est pas parce que l’Église s’engage dans un domaine qui lui est étranger, mais parce que la plupart de nos sportifs sont croyants. Les derniers Jeux olympiques l’ont bien montré. Après leur superbe victoire, les sportifs ont joint le patriarche, il les a félicités et ils lui ont demandé sa bénédiction. Les interviews de sportifs qui sont passés à la télévision parlent souvent de Dieu, de la prière, ce qui permet d’affirmer que nos sportifs, ou en tous cas une majorité d’entre eux, sont des croyants qui voient dans leur travail un service rendu à la patrie, pour lequel ils demandent à Dieu de les aider. Ce n’est pas pour rien que le patriarche Cyrille a célébré un office d’action de grâce après les Jeux olympiques : nos sportifs avaient été placés dans des conditions très difficiles, et, malgré tout, ils ont surmonté honorablement l’épreuve.
E. Gratcheva : Il suffit de penser à Elena Issinbaeva, qui prie et écarte la presse, ne parle à personne avant chaque saut.
Les sportifs canadiens se sont fait remarquer et ont fait parler d’eux dans les médias pendant les Jeux olympiques. Ils ont changé une version modifiée de l’hymne national, une version neutre sur le plan du genre, où la phrase « le patriotisme est l’apanage de tes fils » est abrégée en « notre apanage ». On pourrait croire qu’il s’agit d’un cas à part, mais ce n’est pas le cas. Les Allemands vont encore plus loin et font des courbettes devant les minorités sexuelles au niveau de l’état. La déléguée à l’égalité des sexes de la RFA, Kristin Rose-Möhring, invite à modifier le texte de l’hymne national pour une version neutre du point de vue du genre. Des nouvelles comme celles-là vous étonnent-elles encore venant d’Allemagne ?
Le métropolite Hilarion : J’appartiens à une génération qui se souvient très bien de ce qu’est l’influence de l’idéologie sur le développement du pays, sur son historiosophie, sur sa moralité, lorsque des prémisses idéologiques font office de base sur laquelle s’élèvent ensuite les lois, les règles. Les œuvres littéraires, le cinéma, la musique doivent se plier à l’idéologie.
C’est ce qui se passe actuellement en Union européenne. A chaque fois que je vais dans un pays européen, je m’en convaincs une nouvelle fois. Les clichés idéologiques, qui dominent aujourd’hui dans la conscience européenne, et qui sont imposés par le biais des moyens d’information, par toute sorte de propagande, sont bâtis sur une idéologie concrète. Cette idéologie est d’origine athée. Bien plus, elle est misanthropique à la base : le discours de l’Europe sur la famille, sur l’égalité des sexes sape les fondements de la vie humaine, ruine un institut aussi fondamental que la famille, sur lequel l’humanité a tenu pendant des siècles.
E. Gratcheva : Il faut dire qu’il y a des exemples contraires. Le premier ministre hongrois, par exemple, qualifie le christianisme de dernier espoir de l’Europe. Pensez-vous que les pays de l’ancien camp socialiste pourraient s’unir pour défendre les valeurs traditionnelles et s’unir autour d’une foi commune, le christianisme ?
Le métropolite Hilarion : Je ne pense pas qu’on puisse parler des pays de l’ancien camp socialiste, parce que ce dont parle le premier ministre Orban, ce n’est pas de l’idéologie, justement, mais une forme de pragmatisme politique dans le bon sens du terme. C’est l’un des rares hommes politiques européens d’aujourd’hui à comprendre à quoi mènera à long terme la politique des états européens, notamment leur politique migratoire. C’est un suicide pour cette Europe dont l’unité avait justement mis des siècles à se faire.
E. Gratcheva : Sur Instagram, il y a un nouveau compte qui s’appelle « la journée du patriarche ». On promet d’y publier des photos non officielles retraçant la vie et le ministère du primat de l’Église orthodoxe russe. Si le réseau social Facebook sert plutôt, dans l’esprit de beaucoup, à communiquer et à échanger des textes, si ce n’est un secret pour personne que beaucoup d’hiérarques de l’Église orthodoxe russe sont des utilisateurs actifs de semblables réseaux sociaux, Instagram sert plutôt à publier des images, des photos. Pourquoi l’Église veut-elle qu’on « épie » le patriarche ?
Le métropolite Hilarion : Je ne pense pas qu’il s’agisse d’épier le patriarche, mais sa personne suscite un grand intérêt. Les gens veulent savoir comment le patriarche se conduit au quotidien, comment il se promène, comment il parle au téléphone. Je ne pense pas qu’on montrera toute la vie du patriarche, mais on publiera sans doute quelques images, quelques moments de son quotidien.
E. Gratcheva : Nous avons souvent parlé dans ce programme des dernières trouvailles, par exemple des nouveautés technologiques. Vous êtes un utilisateur actif de ces systèmes et, dans l’ensemble, vous approuvez le développement des technologies. J’aimerais savoir ce que vous pensez d’applications comme l’assistant vocal « Allissa » de Yandex, qui sait même plaisanter. On peut lui poser des questions sur Dieu, sur la religion. « Alissa, tu fais le carême ? » « Maintenant oui, et alors ?! » « De quelle confession es-tu ? » « Il vaut mieux que vous ne le sachiez pas ». « Tu crois en Dieu ? » « Je ne veux vexer personne, mais je ne crois pas trop en Zeus et Appolon. » Que pensez-vous d’une semblable « compagnie » pour les personnes âgées ou seules ?
Le métropolite Hilarion : Je pense que ces applications sont utiles si on s’est perdu, par exemple, pour retrouver son chemin. Dans ce cas, l’assistant vocal peut se révéler un guide utile. Mais je ne crois pas qu’il soit bon de se mettre à discuter avec ce robot comme avec une personne, lui poser des questions sur la morale ou sur la religion, lui partager ses sentiments, ses émotions, ses inquiétudes.
Durant la seconde partie de l’émission, le métropolite Hilarion a répondu aux questions des téléspectateurs, sur le site du programme « L’Église et le monde ».
Question : Si Dieu connaît l’avenir, cela veut-il dire que notre destin est prédéterminé ?
Le métropolite Hilarion : Non, cela ne veut pas dire que notre destin est prédéterminé, parce que l’omniscience divine est une chose, tandis notre libre arbitre en est une autre.
Voici un exemple concret. Une maman dit à son fils : il fait froid, si tu sors sans bonnet, tu risques de t’enrhumer. Le garçon ne met pas de bonnet, il rentre avec un rhume. S’agit-il de prescience ou de prédestination ? D’une part, la maman connaît bien son fils, elle connaît son comportement et sait quelles en peuvent être les conséquences, elle le prévient donc. D’autre part, il dépend de lui de mettre ou de ne pas mettre son bonnet, d’obéir à sa mère ou de lui désobéir.
C’est un exemple un peu simple tiré du quotidien, mais il illustre bien nos rapports avec Dieu. Dieu sait comment nous pourrions agir, mais cela ne signifie pas que nous allons agir ainsi. Par exemple, Jésus Christ a prédit à l’apôtre Pierre que, lorsque Lui, Jésus, serait arrêté, Pierre le renierait trois fois. Mais cela ne voulait pas du tout dire que Pierre devait renier. Cela voulait dire que Jésus le connaissait bien. Il connaissait ses faiblesses, sa façon de réagir aux évènements, mais renier ou non dépendait de Pierre : il pouvait se souvenir de la prédiction de Jésus et ne pas renier, mais il a renié quand même.
Dieu voit l’avenir comme Il voit le présent. Mais cela ne veut pas dire que l’avenir est prédéterminé. Notre vie se compose plusieurs éléments : l’un est la volonté de Dieu, l’autre notre volonté humaine propre. Si notre volonté est en harmonie avec celle de Dieu, tout va selon le dessein de Dieu. Si notre volonté entre en conflit avec celle de Dieu, nous sommes responsables des conséquences. Dieu a créé l’homme libre. L’homme n’est pas une marionnette dans les mains de Dieu. Pour connaître la volonté divine, nous devons prier, lire l’Évangile et, quand nous avons un choix à faire, nous demander comment Jésus Christ aurait agi à notre place.

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