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Le métropolite Hilarion : Les infirmités physiques…

Le métropolite Hilarion : Les infirmités physiques n’empêchent pas de prier Dieu

Le 13 janvier 2018, le métropolite Hilarion de Volokolamsk a répondu aux questions de la présentatrice de télévision Ekaterina Gratcheva dans l’émission « l’Église et le monde » (« Tserkov i mir »), diffusée les samedis et les dimanches sur la chaîne « Rossia-24 ».
E. Gratcheva : Bonjour ! Vous regardez l’émission « L’Église et le monde », nous nous entretenons avec le métropolite Hilarion de Volokolamsk, président du Département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou. Bonjour, Monseigneur.
Le métropolite Hilarion : Bonjour, Ekaterina ! Bonjour, chers frères et sœurs !
E. Gratcheva : La principale nouvelle politique, je dirais même la sensation de ce début d’année 2018, ce sont les premières négociations directes entre la Corée du Nord et la Corée du Sud depuis 2 ans. Moscou, au contraire de Washington, qui insiste depuis longtemps sur une résolution militaire du conflit, parle de la nécessité du dialogue entre les deux voisins. D’une façon générale, la Corée du Nord est un partenaire avec lequel il est difficile de dialoguer. C’est jusqu’à aujourd’hui une tache sombre sur la carte du monde (la Corée du Nord ne se voit pas depuis le cosmos, elle n’est pas éclairée), et sur la carte politique. Comment dialoguer avec un leader aussi complexe que Kim Jong-un, à votre avis ?
Le métropolite Hilarion : Je pense qu’un processus de négociations est nécessaire dans tous les cas de figure, ce qui amène parfois des résultats positifs inattendus. La péninsule coréenne est divisée depuis des décennies. La ligne de démarcation ne traverse pas seulement le territoire de la péninsule, elle passe aussi dans les familles, elle traverse les destinées. Il y a des gens dont la famille vit en Corée du Nord tandis qu’eux-mêmes habitent en Corée du Sud. Il faut faire quelque chose pour sortir de cette situation.
Nous avons des fidèles aussi bien en Corée du Nord qu’en Corée du Sud. Il existe une église orthodoxe en Corée du Nord, qui a récemment fêté son dixième anniversaire. Elle a été construite grâce aux efforts de l’ancien ambassadeur de la Fédération de Russie en Corée du Nord, plus tard ambassadeur de Russie en Turquie, Andreï Karlov. En Corée du Sud, nous avons aussi des fidèles, mais nous n’y avons pas encore d’église.
E. Gratcheva : Personne ne s’attendait à ce que la Corée du Nord et Kim Jong-un proposerait ces négociations. Ne craignez-vous pas que des puissances extérieures au pays, comme les États-Unis d’Amérique, puissent entraver le processus de paix ?
Le métropolite Hilarion : L’Amérique s’est souvent immiscée dans des conflits internationaux et dans des conflits internes. Et son intervention est loin d’avoir toujours été positive. Nous en voyons les résultats au Proche-Orient, avec ce qui s’est passé en Irak, en Lybie, ce qui aurait pu se passer en Syrie si la Russie n’était pas intervenue. Je pense qu’il faut donc d’abord donner la possibilité aux deux parties de la péninsule coréenne de s’asseoir à la table des négociations, et nous verrons jusqu’à quel point elles peuvent s’entendre. S’ils ont besoin d’aide extérieure, c’est plutôt à eux de la demander.
E. Gratcheva : Monseigneur, les chrétiens du monde entier viennent de fêter Noël, mais beaucoup de grandes marques internationales, comme par exemple le réseau de cafés Starbucks et d’autres, se sont mis de façon inattendue pour leurs clients à s’abstenir de mentionner Noël. Elles se justifient en constatant que beaucoup de gens ne célèbrent pas cette fête chrétienne. Donald Trump, au contraire, a défendu l’expression « Joyeux Noël », affirmant que cette fête était l’une des principales valeurs pour les Américains. On n’observe pas d’attaque contre la fête de Noël, dans l’espace informationnel russe, ces dernières années ?
Le métropolite Hilarion : En Russie, heureusement, il n’y a pas d’attaques semblables, mais il faut comprendre pourquoi elles se produisent dans les pays d’Europe de l’Ouest et en Amérique. L’idéologie laïque, c’est-à-dire, finalement, l’idéologie athée, est en train de conquérir de plus en plus de terrain dans le monde occidental. Cette idéologie ne supporte aucune concurrence, et tous les discours sur la tolérance des idéologues occidentaux ne sont rien de plus qu’un paravent pour cacher leurs agissements, dont le but est d’éliminer la religion de l’espace public.
Il y a des valeurs fondamentales pour les gens, parmi lesquelles la fête de Noël. Ils peuvent être plus ou moins croyants, plus ou moins pratiquants, mais lorsque revient Noël, ils se rassemblent, si ce n’est à l’église, du moins autour de la table familiale. L’idéologie laïque s’attaque à cette valeur, comme elle s’attaque, d’ailleurs, à la famille.
E. Gratcheva : En Italie, il y a eu un incident, ce Noël. Un migrant a arraché la croix du sapin de Noël. Cette année, je me suis trouvée à Londres le 24 décembre, la veille de Noël. J’y ai trouvé des kilomètres de touristes venus d’Afrique et d’Inde, faisant la queue à l’aéroport. Ils étaient venus à Londres voir des membres de leurs familles. Cette date est devenue leur fête. Je n’ai vu aucun Britannique dans les rues. Ceux-ci se plaignent d’être obligés d’aller dans leurs maisons de campagne en France ou en Suisse pour sentir l’atmosphère de cette fête chrétienne. Quel est l’avenir de la fête de Noël en Europe ?
Le métropolite Hilarion : J’espère vraiment que Noël continuera à faire partie intégrante de l’identité européenne, malgré la politique peu sage des gouvernants.
Vous avez cité l’exemple de ce migrant qui est monté dans le sapin pour en arracher la symbolique chrétienne. Pourquoi ne pouvait-il pas rester dans son pays, où personne n’attentait à ses valeurs ? Pourquoi devait-il venir en Europe pour y installer son ordre ? Le problème est que la politique migratoire qui est appliquée selon un plan bien défini par les pays occidentaux tend moins à intégrer les nouveaux arrivants à l’identité européenne qu’à délayer au maximum cette identité.
Vous êtes allée à Londres il y a quelques jours. Pour ma part, cela doit faire 25 ans que je vais régulièrement à Londres, depuis mes études à Oxford. J’ai pu observer comment la ville changeait progressivement. Dans certains quartiers de Londres, on se croirait à Islamabad ou à Dehli, on n’y croise aucun Britannique, on n’y voit pas un seul symbole chrétien. Peu à peu, pas à pas, les Britanniques sont réduits à l’état de colonie intérieure. Ils doivent quitter leurs villes, s’installer à la campagne ou plus au nord, en Écosse, pour retrouver l’atmosphère à laquelle ils sont habitués, dans laquelle ils ont grandi et dans laquelle ils ont été éduqués.
E. Gratcheva : Monseigneur, durant les fêtes, il y a eu un office liturgique assez particulier dans une église d’Ekaterinbourg. Le père Noël et la Snegourotchka du diocèse y participaient. Beaucoup se sont demandé jusqu’à quel point les fêtes chrétiennes et les traditions païennes, celles du carnaval, par exemple, ou bien les traditionnelles séances de divination la veille de Noël, peuvent être associées ? Comment le croyant peut-il ne pas dépasser la mesure et résister aux superstitions ?
Le métropolite Hilarion : Je présume que les autorités diocésaines savent ce qui est compatible et ce qui est incompatible avec la vision chrétienne du monde. Si le diocèse a invité le Père Noël et sa Snegourotchka à une fête pour les enfants, je n’y vois rien de mal, ni rien de païen. Par contre, l’Église s’élève contre la substitution des rites païens par certains rudiments de paganisme, comme les rites de carnaval. Nous disons toujours où est la foi et où est la superstition, ce qu’est le christianisme et ce qui relève du paganisme.
Vous avez parlé de la divination. Naturellement, l’Église est contre la divination en général, sous quelque forme que ce soit : divination sur le marc de café ou sur les lignes de la main, tables tournantes, séances de spiritisme, etc. L’Église a toujours rejeté ce genre de pseudo-spiritualité, car ceux qui s’y adonnent en viennent, parfois sans le savoir, à communiquer avec les puissances négatives que nous appelons démoniaques. Ensuite, ces puissances s’emparent de ces gens qui ne savent plus comment s’en défaire.
E. Gratcheva : A Damas, un arbre de Noël a été organisé pour la première fois depuis 7 ans au Centre culturel russe. 300 enfants y sont venus. Beaucoup Russes, après la fin de la guerre contre l’E.I. ont fait part de leur désir d’adopter des enfants orphelins de Syrie. Je me suis demandé si l’on ne risquait pas d’assister à une série d’adoptions médiatiques d’enfants de la république arabe ? Par ailleurs, nous avons assez de nos propres orphelins en Russie.
Le métropolite Hilarion : Je ne pense pas que ce soit un danger ? Si un couple désire adopter des enfants syriens, il faut les aider et les encourager. Car il reste beaucoup d’orphelins en Syrie, notamment dans des familles chrétiennes.
Je voulais dire aussi que les offices ont récemment repris à la représentation de l’Église orthodoxe russe à Damas, alors que le représentant de l’Église russe auprès du Patriarcat d’Antioche avait dû rester au Liban pendant plusieurs années, se contentant de rapides voyages en Syrie. Notre représentant est rentré en Syrie et la représentation a repris son travail. Ce qui permet de rencontrer régulièrement le patriarche d’Antioche et de poursuivre notre travail d’aide humanitaire. Et de l’aide humanitaire, il y en a énormément besoin.
E. Gratcheva : Le premier-ministre Dimitri Medvedev a signé un arrêté sur la simplification de la procédure d’adoption. Peu avant, le président Vladimir Poutine a signé une loi sur l’augmentation de l’aide financière, si le premier enfant d’une famille est un enfant adopté. Cela ne risque-t-il pas d’entraîner une hausse du nombre de parents adoptifs malveillants ?
Le métropolite Hilarion : Nous ne pouvons pas exclure la hausse du nombre de parents adoptifs malveillants, mais je pense que, dans l’ensemble, le gouvernement s’efforce de faciliter l’adoption des enfants qui en ont besoin. Nous savons que le nombre de ces enfants diminue, justement parce qu’ils sont adoptés. Dans la plupart des cas, ils sont adoptés par des gens bienveillants, dont le but est noble, qui donnent à ces enfants une seconde vie, et, dans bien des cas, une excellente éducation. Certes, c’est là un processus qu’il faut encourager.
E. Gratcheva : L’Église catholique en Allemagne a décrété l’année 2018 année du mariage comme sacrement. L’archevêque Heiner Koch a constaté que la discussion entamée l’an dernier autour du mariage a montré que tout le monde ne comprend pas « notre notion du mariage chrétien », parlant du droit au mariage homosexuel. L’année sera peut-être consacrée au thème du mariage, en Allemagne, mais est-ce que cela peut encore changer quelque chose dans un pays qui a adopté le 1er octobre une loi sur la légalisation des mariages homosexuels ?
Le métropolite Hilarion : Les décisions qui sont prises dans beaucoup de pays d’Europe sont dictées par une idéologie qui entraîne la destruction de beaucoup de familles. Selon cette idéologie, l’homme peut choisir son sexe et décider avec quels partenaires – de son sexe ou de l’autre – il vivra à l’avenir.
Du point de vue de l’Église, il y a des choses qui ont été instituées par Dieu et qui ne doivent pas être changées. C’est Dieu qui a établi l’union conjugale comme union d’un homme et d’une femme. C’est Dieu qui donne à tout homme un sexe, et on ne peut rien y changer. On peut créer l’illusion d’un changement de sexe, on peut changer les caractéristiques extérieures d’une personne, si bien qu’un homme aura l’air d’une femme, mais cet homme ne pourra jamais porter et mettre au monde un enfant, il ne sera jamais pleinement une femme. Les opérations de changement de sexe sont fondées sur un mensonge qui est imposé aujourd’hui à l’aide l’une idéologie inculquée dès l’enfance par le biais de l’école. C’est l’immense tragédie de l’Europe d’aujourd’hui et, plus largement, du monde occidental contemporain. Une tragédie dont l’ampleur ne sera saisie, sans doute, que par les générations suivantes.
E. Gratcheva : Non seulement en Europe, mais aussi aux États-Unis, certains leaders religieux tentent de se positionner en faveur des valeurs traditionnelles et du mariage en dépit de la ligne suivie par les hommes politiques. Les leaders religieux des États-Unis, à la fin de l’année, ont écrit une lettre ouverte contre l’idéologie transgenre et rappelé que « le Seigneur a créé les humains hommes et femmes, et que le sexe de chacun est un don de Dieu. »
Le métropolite Hilarion : C’est l’opinion de l’Église. C’est ce que l’Église enseigne depuis des siècles. Rien ne nous obligera à changer notre doctrine, car cette doctrine est fondée sur la Révélation divine et sur l’expérience humaine. On fait passer pour norme une déviance psychique qui peut être corrigée et soignée, et on force les gens à se mutiler. Dans bien des cas, ils prennent conscience de ce qui leur est arrivé, de ce qu’on les a trompés. Mais il est trop tard. Je pense que l’Église ne cessera jamais d’élever sa voix contre cette tromperie et que tôt ou tard les gens comprendront qui avait raison et qui avait tort. Malheureusement, certains le comprendront après en avoir fait les frais.
E. Gratcheva : La semaine prochaine, les chrétiens fêteront le baptême du Christ. Que conseilleriez-vous, Monseigneur, aux Russes pour se préparer comme il sied à se plonger dans les eaux. La température n’est pas la même qu’au Jourdain ! Pourquoi faut-il jeûner avant de se plonger dans les eaux ? Quelles sont vos recommandations ?
Le métropolite Hilarion : En premier lieu, j’estime qu’il est tout à fait erroné de réduire la fête du Baptême du Christ à un plongeon dans les eaux. Je conseille à tous les chrétiens orthodoxes de venir à l’église, de participer à la Divine liturgie, de communier aux Saints Mystères du Christ, d’assister à la bénédiction des eaux, d’emmener de l’eau chez eux, d’en boire durant l’année, d’en asperger leurs maisons. Voilà en quoi consiste la fête du Baptême du Seigneur.
Cette fête nous rappelle bien sûr comment le Seigneur Jésus Christ Lui-même reçut le baptême de Jean Baptiste. La coutume de se plonger dans un trou pratiqué dans la glace ne fait pas partie de la tradition ecclésiale. C’est une coutume que certaines personnes observent, qu’elles se sont données comme règle. Il n’y a rien de mal à cela si la santé le permet. Mais, si ce bain se fait avec des jurons et fait suite à la prise de boissons alcoolisées, peut-on parler d’un quelconque profit pour l’âme ? Je pense que ni le corps ni l’âme n’en retirent aucun bien.
E. Gratcheva : Irez-vous vous plonger dans les eaux, Monseigneur, pour le Baptême du Christ ?
Le Métropolite Hilarion : Je prends tous les ans ce bain pour le Baptême du Christ, mais je ne le fais pas seulement à cette fête-là. Mon organisme y est habitué. Je dois d’ailleurs dire que cela n’empêche pas de tomber malade. Je m’enrhume tous les ans une fois pendant la période hivernale.
Dans la seconde partie de l’émission, le métropolite Hilarion de Volokolamsk a répondu aux questions des téléspectateurs posées sur le site de l’émission « l’Église et le monde ».
Question : Quelles sont les perspectives d’emploi liturgique du chant byzantin dans l’Église orthodoxe russe ?
Le métropolite Hilarion : Il faut d’abord s’entendre sur ce qu’on appelle chant byzantin. S’il s’agit du chant grec en langue grecque, ce chant n’a guère de perspectives dans l’Église russe. Pendant des siècles, l’Église russe a développé sa propre forme de chant byzantin, qu’on appelle le chant neumatique, ou znamenny. Il est toujours en usage dans les paroisses de rite ancien de l’Église orthodoxe russe, ainsi que dans certains monastères et certaines paroisses. C’est de fait le chant traditionnel, qui a existé, existe et continuera à exister parallèlement au chant sacré européen qui s’est implanté chez nous à l’époque de Pierre I et existe toujours.
Question : Je suis dur d’oreille, à cause de quoi, lorsque je suis à l’église, j’entends les sons, mais je ne distingue pas les mots. Je ne vois plus à quoi me sert d’être présent à l’église. Je ne vais plus à l’office que pour me confesser et pour communier. Est-ce un péché ? Dois-je m’en confesser ?
Le métropolite Hilarion : Les infirmités physiques n’empêchent pas de prier Dieu. Si vous entendez mal les paroles de l’office divin, vous pouvez prier avec vos propres mots. Par ailleurs, il y a des livres qui permettent de suivre l’office en slavon, avec la traduction russe en parallèle. Il existe aussi dans beaucoup de villes des paroisses où l’on célèbre avec une traduction en langage des signes, ou bien en tenant compte des besoins des malentendants. Si vous ne pouvez pas aller dans une paroisse de ce genre, allez quand même à l’église, efforcez-vous d’entendre ce que vous pouvez. Ce que vous n’entendez pas des prières prononcées par d’autres, dites-le avec vos propres mots. Vos prières iront à Dieu, soyez-en certain.
Question : Les paroles du Christ adressées à Sa Mère aux noces de Cana : « Que me veux-tu, femme ? (Jn 2, 4) sont-elles cruelles de la part de Jésus ? Si non, pourquoi prononce-t-Il des mots aussi désagréables ?
Le métropolite Hilarion : Ceux qui savent l’hébreu ancien, la langue que parlait Jésus Christ, affirment que ces mots n’ont rien de désagréables : « femme » était une façon courante et respectueuse de s’adresser à une femme. C’est ainsi que Jésus s’adresse à beaucoup d’autres femmes. Quant à la question « Que me veux-tu ? », une femme pose exactement la même question à Élie au 1e livre des Rois. Il s’agit d’une expression courante. Certains commentateurs antiques pensaient que Jésus se montrait sévère envers Sa Mère. C’est ce que croyait Jean Chrysostome, par exemple. Les recherches des philologues contemporains infirment cette opinion. Elles montrent que c’était au contraire une formule respectueuse adressée à une femme, notamment à une Mère.
Pour terminer cette émission, j’aimerais vous rappeler ces mots de l’apôtre Paul : « Glorifiez Dieu dans votre corps et dans votre esprit, qui appartiennent à Dieu » (I Co 6, 20).
Portez-vous bien et que le Seigneur vous garde tous !

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