Page d'accueil Actualité
Le métropolite Hilarion : Jérusalem doit rester un …

Le métropolite Hilarion : Jérusalem doit rester un centre spirituel chrétien, un centre de pèlerinage

E. Gratcheva : Bonjour, vous regardez l’émission « L’Église et le monde », nous nous entretenons de l’actualité en Russie et dans le monde avec le métropolite Hilarion de Volokolamsk, président du Département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou.

Le métropolite Hilarion : Bonjour, Ekaterina, bonjour chers frères et sœurs !

E. Gratcheva : Monseigneur, le Concile épiscopal qui a eu lieu à Moscou a beaucoup attiré l’attention des journalistes. Ce Concile avait lieu pour le centenaire de la restauration du Patriarcat dans notre pays. J’aimerais en faire le bilan. Qu’est-ce que ce Concile a apporté de nouveau ? Beaucoup de journalistes ont insisté sur le fait que l’Église réaffirmait son refus de bénir les mariages homosexuels dans le document sur les mariages religieux. Je ne vois là rien de nouveau, puisque la position de l’Église sur ce sujet a été formulée depuis longtemps. Qu’est-ce qu’il y a de réellement nouveau ?

Le métropolite Hilarion : Nous n’avons rien dit qui soit véritablement neuf, et ce n’était pas prévu. Ces documents clarifient des points qui restaient peu clairs et sur lesquels les prêtres n’avaient pas toujours la même opinion. Par exemple, concernant le mariage. Le document réaffirme naturellement que le mariage est l’union voulue par Dieu d’un homme et d’une femme.  Nous disons naturellement que l’Église ne reconnait en aucun cas les unions dites homosexuelles comme des mariages et, pour cette raison, ne les bénira pas. En même temps, nous avons évoqué plusieurs aspects canoniques du mariage. Par exemple, de quels mariages tenir compte, quel mariage peut être considéré comme second ou troisième mariage. Certains estiment qu’il ne faut prendre en compte que les mariages bénis à l’église : si quelqu’un s’est déjà marié deux fois à l’église et a contracté en plus deux autres mariages civils, selon ces personnes, il pourrait recevoir la bénédiction à ce qui serait un troisième mariage. L’Église a tranché en décrétant que tous les mariages enregistrés civilement comptaient. Donc, dans l’exemple cité, s’il y a eu deux mariages religieux et deux autres enregistrés civilement, le nouveau mariage serait le cinquième, et non le troisième.

Il me semble que c’est là une précision importante. Il y en a eu d’autres, par exemple sur les différents niveaux de parenté familiale et de parenté spirituelle, sur les empêchements au mariage des personnes apparentées.

E. Gratcheva : Monseigneur, pendant le Concile épiscopal, une nouvelle inattendue a frappé les esprits. Les journalistes ont été pris de cours, et il me semble que les membres du Concile ont aussi été surpris par la lettre de l’ex-métropolite Philarète de Kiev, dans laquelle il s’adresse au patriarche et au Concile. Cette lettre est-elle une provocation ou un acte de repentir ? A-t-elle eu des conséquences pour Philarète en Ukraine ?

Le métropolite Hilarion : Le schisme se poursuit en Ukraine depuis 1992. L’ancien métropolite de Kiev Philarète a pris la tête du schisme en 1997, et, depuis, ni lui, ni la structure qu’il dirige n’avaient fait la moindre tentative de repentir ni de réconciliation avec l’Église. C’est pourquoi, lorsque ses représentants en Amérique (pour des raisons quelconques, c’est passé par l’Amérique), nous ont fait part de son intention d’adresser une lettre au Concile épiscopal nous avons effectivement été surpris, nous ne nous y attendions pas.

Il a envoyé deux fois ses représentants à Moscou, je les ai reçus, d’abord un groupe, puis un second. Le second groupe a apporté la lettre dans laquelle il s’adressait effectivement au patriarche et au Concile épiscopal. Bien plus, il ne s’adressait pas à eux en tant que patriarche de Kiev et de toute la Rus’ d’Ukraine, comme il se fait appeler en Ukraine, mais a simplement signé « votre confrère Philarète ». La lettre n’était pas écrite sur du papier à en-tête, elle contenait une demande de pardon, il écrivait textuellement : « Je demande pardon pour ce en quoi j’ai péché en paroles, en action et en pensée, et je pardonne à tous ». Cette lettre, puisqu’elle était adressée à tout l’épiscopat de l’Église russe, a été lue au Concile. Le Concile a répondu en créant une commission pour mener des pourparlers avec la structure qu’il dirige.

Peut-être s’attendait-il à autre chose, car dès le lendemain matin, il a tenu une conférence de presse à Kiev, dans laquelle il désavouait tout ce qu’il avait écrit dans sa lettre. Nous avons considéré qu’il ne fallait pas réagir à cette conférence de presse, puisque nous avions réagi à la lettre, qui avait été envoyée et lue. Bien plus, nous n’avions pas pensé la publier, mais ils l’ont publiée eux-mêmes. Le secrétaire de presse de cette structure dirigée par l’ancien métropolite Philarète a publié la lettre sur sa page Facebook, n’importe qui peut prendre connaissance de son contenu. Nous avons donc réagi à la lettre en créant une commission pour dialoguer. La commission est prête à dialoguer, mais y aura-t-il dialogue, comment se déroulera-t-il, cela dépend de l’autre partie.

E. Gratcheva : Pour la première fois dans l’histoire, le chef de l’état a assisté personnellement au Concile. Comment les membres du Concile épiscopal ont-ils apprécié ce geste ?

Le métropolite Hilarion : Les membres du Concile épiscopal qui assistaient à cette rencontre, pour autant que je puisse en juger, ont réagi positivement. De fait, c’était la première fois de l’histoire qu’un chef de l’état russe venait à une réunion du Concile épiscopal et s’adressait aux hiérarques. Ce discours était particulièrement important pour les évêques russes, qui sont aujourd’hui environ 200. Il y avait cependant dans la salle des hiérarques d’autres pays : de Biélorussie, de Moldavie, du Kazakhstan, d’Asie centrale, des Pays baltes, de pays plus lointains. Ce qu’a dit le président a pu intéresser chacun pour différentes raisons.

Le président a prononcé un bref discours, dans lequel il a su placer les accents nécessaires en quelques minutes. Il a parlé avant tout du rôle de l’Église dans la vie du pays aujourd’hui, du rôle que l’Église a joué au cours des siècles dans la vie de la Russie, dans la formation de sa culture et de son identité spirituelle.

Le patriarche a répondu au président au nom des membres du Concile épiscopal. Le patriarche a abordé plusieurs thèmes dans son allocution. Il a, notamment, remercié V. Poutine, de ce qu’il n’existe plus de ministère des Affaires religieuses ni de Conseil aux affaires des religions, comme pendant l’époque soviétique. Il a rappelé qu’à l’époque des tsars, l’institut de la procurature réglait les rapports de l’Église et de l’état. Le procureur était l’œil du souverain au Saint-Synode. A l’époque soviétique, le Conseil aux affaires des religions devait interagir avec l’Église mais servait en fait à la contrôler. Les personnes de la génération du patriarche et des membres du Saint Synode se rappellent bien comment fonctionnait ce Conseil. Il servait, comme s’est exprimé le patriarche, de tampon entre l’Église et l’état. Aujourd’hui, a dit le patriarche, il n’y a plus besoin de tampon. Le patriarche peut s’adresser directement au président, l’évêque diocésain peut échanger directement avec le gouverneur et les questions sont résolues beaucoup plus vite, il y a plus d’efficacité, les rapports sont plus constructifs que s’il existait un organe entre l’Église et l’état.

E. Gratcheva : Vladimir Poutine a annoncé sa candidature aux élections présidentielles de l’an prochain. S’il en sort vainqueur, et si l’on tient compte des années où il fut premier ministre, il aura passé plus d’un quart de siècle à la tête du pays. Que pense l’Église d’un si long mandat pour une seule et même personne ? Est-ce que cela profite vraiment au pays ?

Le métropolite Hilarion : Il me semble que le nombre d’années passées par un dirigeant au pouvoir importe peu à l’Église. Ce qui importe, c’est la qualité de sa direction. Dans l’histoire de notre état, il y a eu des dirigeants qui sont restés très longtemps au pouvoir, d’autres qui n’y sont pas restés bien longtemps. Mais nous ne portons aucun jugement sur leur longévité. Nous les jugeons d’après ce qu’ils ont fait.

Pourquoi la cote du président Vladimir Poutine est-elle si élevée dans les sondages ? Ce sont les gens qui font la popularité, et il est difficile de les tromper. Les gens savent très bien comment ils vivent, si leurs revenus augmentent ou baissent, quelle est la situation dans le pays. Je pense que les années 90 sont restées dans la mémoire de la plupart de nos concitoyens. Nous nous rappelons ce qu’était le pays dans les années 90, le niveau de corruption, la criminalité, les faibles revenus de la population. Durant les 17 années que Vladimir Poutine a passées au pouvoir, soit comme président, soit comme premier ministre, le niveau de vie de la population a augmenté de façon stable et régulière. Je pense que c’est là le secret de sa popularité.

Quant à la longévité au pouvoir, je peux vous raconter l’histoire suivante. Lors de mon séjour en Grande-Bretagne, j’ai été invité à la radio BBC pour une interview. On m’a demandé : Ne croyez-vous pas qu’un dirigeant ne doit pas rester si longtemps au pouvoir ? J’ai rappelé au correspondant qu’à ce moment-là la reine Élisabeth régnait sur la Grande-Bretagne depuis 60 ans. Finalement, mon interview est bien passée sur les ondes, mais tout ce passage, la question comme la réponse, avait été coupé. Voilà ce qu’il en est de la liberté d’expression en Europe occidentale.

E. Gratcheva : Monseigneur, encore un thème qui a été au sommet de l’actualité ces derniers jours : nos sportifs ont été exclus des Jeux olympiques en Corée du Sud. En Occident, toute une campagne avait été orchestrée avant la publication de cette décision : on montrait des films qui racontaient au spectateur étranger qu’il n’existe plus aucun vrai athlète en Russie. Le tribunal de Lausanne a bien souligné qu’il n’avait pas pu mettre en évidence l’existence d’un soutien officiel au dopage au niveau du gouvernement russe. Que faire dans une situation semblable ? Faut-il ignorer ces jeux, organiser nos propres « jeux spartiates », comme l’a proposé un député, ou aller aux jeux sous un drapeau neutre ? Alexandre Joukov, dans un discours aux députés, a dit que c’était ce que voulait l’Occident : que nous nous retirions du mouvement olympique, et qu’il ne fallait surtout pas tomber dans le piège. Qu’en pensez-vous ?

Le métropolite Hilarion : Si j’étais un sportif russe, je refuserais d’aller à aux Jeux et de concourir sous un drapeau neutre. Les sportifs du monde entier concourent sous les couleurs de leur pays, et nos sportifs devraient passer sous un drapeau neutre ? ! Je trouve effectivement cela humiliant pour la Russie, et je pense que si j’étais à la place des sportifs russes, je n’y serais pas allé.

Quant à toute cette histoire dans son ensemble, il me semble que seuls les organismes judiciaires internationaux peuvent et doivent mettre les points sur les « i ». Parce que le fait qu’un émigré aux États-Unis ait raconté tout un tas d’histoires, décrit comment il avait mélangé des produits dopants aux cocktails des sportifs, publié ses carnet intimes, tout cela doit faire l’objet d’une enquête judiciaire. En Occident, ce genre d’information ou de désinformation est d’actualité, on cherche n’importe quel prétexte pour humilier la Russie, l’affaiblir. Mais je pense qu’il doit être possible de rétablir la vérité, et seules les instances judiciaires devraient pouvoir le faire.

E. Gratcheva : Monseigneur, Donald Trump a étonné le monde en reconnaissant Jérusalem pour capitale d’Israël, et en promettant d’y déplacer l’ambassade située à Tel-Aviv. De facto, il se passera encore quelques années avant que l’ambassade déménage, mais des désordres ont déjà lieu dans les rues. Les Palestiniens ont organisé un samedi noir, un samedi de la colère, il y a eu 200 victimes en un seul jour. Le conflit au Proche-Orient semble une plaie toujours sanglante. Peut-on fouiller avec un scalpel dans la plaie, comme le fait Donald Trump, et quelles pourraient être les conséquences, selon vous ?

Le métropolite Hilarion : D’une part, si nous lisons la Bible, l’histoire du roi David, il a choisi Jérusalem comme capitale de son état, c’est donc une histoire très ancienne pour le peuple hébreu, une histoire sacrée, tirée de l’Écriture sainte et faisant partie de son histoire. D’autre part, au cours de l’histoire, il y a eu beaucoup d’opérations militaires, Jérusalem est passée de main en main, et différentes puissances y prétendent aujourd’hui. L’Autonomie palestinienne, notamment, prétend à une partie de Jérusalem. Aujourd’hui, alors que des négociations sont en cours au niveau international pour reconnaître l’Autonomie palestinienne comme état à part entière, cette décision apparaît effectivement comme une provocation, et ce n’est pas par hasard que des confrontations ont déjà eu lieu.

Il ne faut pas oublier que Jérusalem est une ville sainte pour trois grandes religions : non seulement pour le judaïsme, mais aussi pour le christianisme et pour l’islam. Bien plus, à la place de l’ancien temple de Jérusalem, dont il ne reste qu’un mur, le mur des lamentations, il y a aujourd’hui la mosquée Omar. Donc trois grandes religions concentrent leurs regards vers cette petite ville. Détruire l’équilibre qui s’était établi après la guerre ne me semble pas correct, car n’importe quel déséquilibre peut provoquer des explosions, comme c’est déjà le cas. Les chrétiens, les musulmans et les juifs coexistent plus ou moins en paix à Jérusalem. Chaque groupe a ses quartiers, son immobilier, ses sanctuaires, et il faut que Jérusalem reste un centre spirituel et religieux, où les représentants des trois religions abrahamiques et monothéistes puissent vivre ensemble dans la paix et la concorde.

E. Gratcheva : Donald Trump a tenté d’expliquer sur Twitter pourquoi il avait pris cette décision, disant que tous les présidents avant lui en avaient parlé, et que lui seul avait tenu parole. Mais si les tensions ne s’apaisent pas et si les désordres se poursuivent, quelles conséquences cela peut-il avoir pour les chrétiens à Jérusalem ?

Le métropolite Hilarion : Jérusalem est la ville de l’Église orthodoxe de Jérusalem, la plus ancienne du monde. Les textes liturgiques l’appellent la mère de toutes les Églises, parce que c’est de Jérusalem que le christianisme s’est répandu dans le monde. Jérusalem est aussi le centre de beaucoup d’autres confessions chrétiennes, notamment de l’Église arménienne. Chaque confession chrétienne a sa place au Saint-Sépulcre. C’est la seule église où chaque confession - les catholiques, les orthodoxes, les coptes, les arméniens - ait son autel et son coin. Je pense qu’il faut absolument conserver cette dimension unique de Jérusalem, centre chrétien et spirituel, centre de pèlerinage, quelle que soit la conjoncture politique.

Dans la seconde partie de l’émission, le métropolite Hilarion a répondu aux questions posées par les téléspectateurs sur le site de l’émission, vera.vesti.ru.

Question : Bonjour ! Si Marie était Vierge, pourquoi Jésus avait-Il des frères ?

Le métropolite Hilarion : Il y a deux réponses à cette question. Selon une interprétation, Jésus avait des demi-frères, les enfants de Joseph d’un premier mariage. Selon une autre interprétation, les frères de Jésus mentionnés dans l’Évangile sont ses cousins germains. On sait que Jésus n’avait pas de frères et que la Vierge Marie n’avait pas d’autres enfants que Jésus grâce à un récit de l’Évangile selon saint Jean : lorsque Jésus était déjà crucifié, Sa mère et Son disciple préféré, expression qui désigne Jean lui-même, l’auteur du 4e Évangile, se tenaient auprès de la croix. Jésus dit au disciple : « Voici ta Mère ! » (Jn 19, 27), et à Sa Mère : « Femme, voici Ton fils » (Jn 19, 26). A partir de ce moment, dit l’évangéliste, le disciple La prit chez lui (Jn 19, 27). Si Elle avait eu d’autres enfants, cela n’aurait pas été nécessaire. Ses enfants l’auraient accueillie. Mais comme Elle n’avait qu’un Fils unique, Jésus Christ, en mourant sur la croix, Il La confia aux soins de Son disciple préféré.

Question : Pourquoi l’apôtre Paul dit-il : que vos femmes se taisent à l’église, car il ne convient pas qu’elles enseignent. Et comment le relier avec la pratique contemporaine ?

Le métropolite Hilarion : Quant à la pratique contemporaine, voilà comment les choses s’accordent. Les ministres du culte dans l’Église sont des hommes. Depuis les temps apostoliques, le sacerdoce est réservé uniquement aux hommes dans l’Église. Il n’y a pas eu de femmes prêtres dans l’histoire de l’Église. La structure liturgique de l’Église orthodoxe ne permet pas qu’une femme prêche à l’office. Mais le ministère d’enseignement a bien d’autres formes qui sont tout à fait accessibles aux femmes, aussi bien qu’aux hommes.

Partager:
Le patriarche Cyrille a présidé une nouvelle réunion du Haut Conseil ecclésiastique

16.04.2024

Rencontre du patriarche Cyrille avec le président du DREE et l’exarque patriarcal d’Europe occidentale

09.04.2024

Le patriarche Cyrille a reçu le métropolite Constantin de Zaraïsk

04.04.2024

Condoléances du patriarche Cyrille pour le meurtre de moines du monastère Abo le Grand en Éthiopie

24.02.2024

Message de Noël du patriarche Cyrille de Moscou et de toutes les Russies

06.01.2024

Le patriarche Cyrille a eu un entretien téléphonique avec le métropolite Jean de Belgorod

02.01.2024

Le patriarche Cyrille a présidé une réunion conjointe du Saint-Synode et du Haut Conseil

26.12.2023

Le primat de l’Église orthodoxe russe présente une icône ancienne de la Vierge de Kazan retrouvée et célèbre la liturgie à la cathédrale de la Dormition du Kremlin

04.11.2023

Déclaration de Sa Sainteté le patriarche Cyrille au sujet des événements de l’aéroport de Makhatchkala

30.10.2023

Le patriarche Cyrille donne sa bénédiction à la lecture de prières spéciales pour les archipasteurs et les clercs de l’Église orthodoxe ukrainienne s’efforçant de préserver l’unité de l’Église

30.10.2023

Conflit au Proche-Orient : le patriarche Cyrille a exprimé son soutien au patriarche de Jérusalem

26.10.2023

Le patriarche Cyrille a participé à la rencontre du président Vladimir Poutine avec les représentants des communautés religieuses de Russie

26.10.2023

Le patriarche Cyrille a publié plusieurs déclarations au sujet du projet de loi de la Rada d’Ukraine n°8371

19.10.2023

Le patriarche Cyrille prie pour les morts et les personnes blessées dans la frappe de l’hôpital dans le secteur de Gaza

18.10.2023

Le patriarche Cyrille prie pour la fin rapide du conflit militaire en Terre sainte

07.10.2023

Le primat de l’Église orthodoxe japonaise autonome et le président du DREE ont célébré la liturgie à Tokyo

21.04.2024

Rencontre du patriarche Cyrille avec le président du DREE et l’exarque patriarcal d’Europe occidentale

09.04.2024

Le métropolite Antoine de Volokolamsk en pèlerinage en Galilée

04.04.2024

Rencontre du président du DREE avec Sa Béatitude le patriarche Théophile III de Jérusalem

02.04.2024

Consécration d’une église pour la communauté orthodoxe russe du Liban

10.03.2024

Le patriarche de Serbie a reçu le président du DREE

04.03.2024

Le métropolite Antoine en visite de travail en Serbie

04.03.2024

Le métropolite Antoine a participé aux célébrations du 1950e anniversaire du martyre de saint Thomas en Inde

26.02.2024

Le métropolite Antoine rencontre le nouveau primat de l’Église catholique syro-malabare

24.02.2024

Le président du DREE rencontre des représentantes du monachisme en Inde

24.02.2024

Le métropolite Antoine intervient pendant la réunion du Synode de l’Église d’Inde

24.02.2024

Rencontre du président du DREE avec le primat de l’Église orthodoxe d’Antioche

30.01.2024

Le président du DREE a concélébré avec le patriarche d’Antioche à la représentation de l’Église russe à Damas

28.01.2024

Le patriarche Cyrille a présidé une réunion conjointe du Saint-Synode et du Haut Conseil

26.12.2023

Le président du DREE rencontre l’ambassadeur de Corée en Russie

15.12.2023

Le métropolite Hilarion : l’œuvre de Dostoïevski prêche les idéaux évangéliques

09.02.2021

Le métropolite Hilarion : Le Seigneur a empli les eaux du Jourdain de Sa présence pour y laver les péchés des hommes

19.01.2021

Le métropolite Hilarion : Le Seigneur permet à chacun de s’approcher du Royaume céleste dès cette terre

18.10.2020

Le métropolite Hilarion : La Mère de Dieu intercède pour chacun de nous devant le Roi des Cieux

14.10.2020

Fête de saint Serge de Radonège à la laure de la Trinité-Saint-Serge

08.10.2020

Le métropolite Hilarion : Le Royaume des cieux que Dieu a préparé est ouvert à tous

04.10.2020

Le métropolite Hilarion : La croix, instrument de mort honteux, est devenu le symbole du salut de millions d’hommes

27.09.2020

Le métropolite Hilarion : la Mère de Dieu nous est donnée comme Médiatrice céleste et souveraine, qui intercède pour notre salut

21.09.2020

Le métropolite Hilarion : L’Eucharistie est le repas de noces auquel le Seigneur Jésus Christ convie chaque de nous

13.09.2020

Le métropolite Hilarion : La foi est capable d’inspirer des prouesses dans la vie terrestre et d’ouvrir les portes de la vie éternelle

11.09.2020

Le métropolite Hilarion : La foi seule est insuffisante au salut

30.08.2020

Le métropolite Hilarion : La présence invisible de la Reine des Cieux se fait sentir dans nos vies

28.08.2020

Le métropolite Hilarion : Dieu est prêt à donner à chacun le don étonnant de la foi, mais il faut être prêt à le recevoir

16.08.2020

Le métropolite Hilarion : Le Seigneur nous prie de chercher avant tout le Royaume de Dieu

28.06.2020

Le métropolite Hilarion : Le Seigneur appelle tous les hommes à la sainteté

14.06.2020

Page is available in the following languages
Retour d'information

Les champs marqués d'un * sont obligatoires

Envoyer un message
Рус Укр Eng Deu Ελλ Fra Ita Бълг ქარ Срп Rom عرب